2 événements gastronomiques à ne pas manquer au marché Jean-Talon
Amateurs et amatrices d’expériences gastronomiques, le marché Jean-Talon vous convie à ses grands brunchs gastronomiques qui auront lieu au début du mois de juin à Montréal.
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C’est du 18 au 26 mai que se tiendra la deuxième édition du Printemps des vins et spiritueux de miel du Québec. Voici une belle occasion pour les amateurs et amatrices de découvrir et de déguster les nombreux produits locaux alcoolisés à base de miel.
Oncle Lee. Le nom du nouveau restaurant de l’équipe du Bouillon Bilk est un peu trompeur. On s'attend peut-être à voir un homme d’âge mûr joyeusement bedonnant aux commandes de la cuisine; or, c’est plutôt le jeune chef Andersen Lee, à peine la mi-vingtaine, qui pilote la plus récente adresse du groupe qui vient d’ouvrir dans le Mile End, sur l'avenue Laurier Ouest.
Les Têtes Fromagères, c’est un tout nouveau circuit agrotouristique, comme la route des vins, mais pour les fromages! En tout, 14 artisans fromagers se sont unis pour nous faire découvrir leurs produits et nous ouvrir les portes de leur fromagerie.
Avez-vous l’habitude d’acheter des vins québécois? Moi non, pas tellement, je l’avoue… Je suis pourtant une grande partisane de l’achat local, je le défends et en fais une priorité depuis des années. Mais lorsque vient le temps de m’ouvrir une bonne bouteille, je me tourne vers les vins d’ailleurs.
De Tadoussac à Kegaska (le boutte d’la route!), voici mes bonnes adresses le long de la 138!
Le garde-manger québécois a tellement à offrir! L’agrotourisme, c’est une invitation à parcourir nos magnifiques routes de campagne pour (re)découvrir tout ce qui pousse, broute, s’affine, lève, fermente et barbote chez nous, en plus de rencontrer les gens passionnés et passionnants qui nous donnent accès à des saveurs de proximité. Inspiré? Voici 10 raisons pour souligner à quel point il est alléchant de mettre l’agrotourisme au menu!
J’ai de la chance. Mon amie Nathalie possède un petit chalet sur le bord du fleuve à l’île d’Orléans; juste assez grand pour nous accueillir! J’adore aller à l’île. C’est vraiment tout près de la ville de Québec, et pourtant, on s’y sent loin, loin, loin. C’est paisible. Dès que je traverse le pont, on dirait que le temps s’arrête… Il y a sur l’île tout ce que j’aime : du calme, la nature, le fleuve qui nous entoure, et de la bonne bouffe. On peut faire dans la même journée une virée gourmande, une promenade en kayak et une sieste. Sans oublier le feu de camp dans la cour de Nathalie en fin de soirée!
Voyager à vélo, c’est un super moyen pour découvrir ou redécouvrir un coin du Québec. Sur deux roues, les paysages ne défilent pas aussi vite qu’en voiture. On peut en profiter pleinement, à son rythme. Et quand vient le temps de se ravitailler, ce ne sont pas les arrêts gourmands qui manquent au Québec. Voici 10 circuits pour vous régaler, que vous soyez un cycliste d’expérience ou un pédaleur du dimanche.
Avec le chalet vient la nature, et avec la nature, des plantes sauvages comestibles qu’on peut tranquillement apprendre à connaître. Profitez de votre fin de semaine en nature pour cueillir ces trois plantes faciles à reconnaître et qui pourront donner une touche forestière et hyper locale à vos soupers.
Depuis quelques années, la gastronomie d’Halifax, en Nouvelle-Écosse, est en pleine effervescence. Ce ne sont pas les bars à vin, les restos de quartier ni les excellents cafés qui manquent dans la capitale. Voici un itinéraire chaudement recommandé par les gens branchés du métier!
Pour souligner la fête de l’amour, quoi de mieux qu’un repas concocté avec sensualité par nul autre que l’auteur-compositeur-interprète Claude Bégin? Après tout, on mange d’abord avec les yeux avant de se régaler!
Chaque année, le 1er janvier, Marguerite Paul célèbre l’indépendance d'Haïti autour de la soupe joumou. Pour la Manitobaine originaire de Limbé comme pour tous les Haïtiens d’origine à travers le monde, cette tradition représente un devoir fraternel et révolutionnaire.
Pour le chef Phong Thach, c’est en famille qu’il faut célébrer le Tet — ou Tết Nguyên Ðán — le Nouvel An vietnamien. Et sur sa table généreusement garnie, il dépose toujours le fameux bánh tét, un mets typique du sud du Vietnam, où il est né de parents cambodgiens.
À l’approche de Noël, des hommes venus du Mexique pour travailler au Québec nous ont parlé candidement de leurs plats favoris, de leurs traditions des Fêtes et de leur vie, marquée par le travail et l’éloignement.
« Je n’y crois pas encore », lâche d’un seul souffle Jean-Christophe Poirier au bout du fil. Il nous parle depuis la salle à manger de son restaurant St. Lawrence, à Vancouver. Récompensé d’une étoile pour l’excellence de la cuisine qu’il y sert, son établissement devient le tout premier restaurant de cuisine québécoise à se tailler une place dans ce qu'il décrit comme « le plus prestigieux guide culinaire au monde ».
La mention 5 diamants, attribuée par l'Association canadienne des automobilistes (CAA) et l'Association américaine des automobilistes (AAA), qui recensent des centaines d'hôtels et de restaurants, confère à de nombreux établissements une marque de prestige. C’est une reconnaissance convoitée au Québec et en Amérique du Nord. Sur plus de 6500 établissements recensés cette année, 58 établissements de restauration figurent au sommet de la liste, dont seulement quatre au Canada. Que faut-il pour atteindre cette prestigieuse reconnaissance? Conversation avec les quatre chefs récipiendaires de 2022 : Brandon Clemens du restaurant Eden en Alberta, Jason Bangerter du Langdon Hall à Cambridge en Ontario, François-Emmanuel Nicol de la Tanière3 à Québec, ainsi que Raphaël Vézina du Laurie Raphaël à Québec.
C’est jour de récolte de légumineuses au Goglu, une ferme maraîchère certifiée biologique à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud, dans la MRC de Montmagny. Natacha Lambert et son conjoint, Serge Gagnon, s’affairent depuis plus de 15 ans à la production de 6 variétés de haricots, dont certaines étaient disparues du paysage agricole nord-américain.
Tout au fond du verger du Domaine Orléans, à Saint-Pierre-de-l'Île-d'Orléans, à l’arrière du bâtiment qu'occupe la cidrerie, un minuscule comptoir café attire la clientèle en grand nombre. Offrant une vue imprenable sur le fleuve Saint-Laurent, le pont de l’Île et la chute Montmorency, le café Les Gamines propose de savoureuses gaufres colorées qui regorgent de saveurs locales.
La pizza d’Albin Jose Toms fait mouche à Saint-Jean de Terre-Neuve. En quelques heures seulement, l’ingénieur passionné de pizza vend en ligne plus de 130 pizzas élaborées avec soin et rehaussées d'un séduisant parfum de son héritage culturel.
Le meunier Eric Lamontagne est l'un des derniers meuniers-artisans en Amérique du Nord. Propriétaire du Moulin La Pierre, à Saint-Norbert-d'Arthabaska, il est porteur de savoir-faire reconnus comme des éléments du patrimoine immatériel du Québec. Dans un moulin datant de la première moitié du 19e siècle, M. Lamontagne moud l'une des farines les plus nutritives sur le marché nord-américain, mais ses connaissances sont menacées de disparaître.
Faire son propre cidre est une aventure qui exige de la patience, la prise de risques et une bonne dose de recherche. Avec un budget somme toute modeste, beaucoup de temps et 60 litres de jus de pommes, j’ai réussi à faire du cidre maison. Et il est plus que buvable! Voici les hauts et les bas de cette expérience hors du commun.
Le Canada accède à la grande finale du Bocuse d’Or, les Jeux olympiques de la gastronomie. L'équipe nationale est arrivée au deuxième rang lors des demi-finales qui avaient lieu jeudi au Chili. Elle obtient ainsi son billet pour l'étape ultime, qui se jouera à Lyon en janvier prochain.
La fraise immature fait son apparition sur le marché des tendances alimentaires au Québec. Le fruit récolté très pâle, avant mûrissement, est astringent et très acidulé, une source d’inspiration pour plusieurs chefs au Québec qui le mettent volontiers de l'avant. À la découverte d’un aliment local dont l’acidité rivalise avec celle des agrumes venus de pays chauds.
Couple dans la vie comme en affaires, Maxime Boisvert et Marguerite Rousseau exploitent depuis le mois de mai une boulangerie artisanale dans le local de l'ancien magasin général de Leclercville, laissé vacant depuis sa fermeture, dans les années 80. Armés d’un savoir-faire et d’un blé biologique qui pousse dans les prés avoisinants, Maxime et Marguerite font revivre un témoin du passé, ainsi qu’un goût ancré dans le territoire local.