Folie douce, Diane Dusfresne en paroles et musique


			Diane Dufresne, notre diva québécoise, est au cœur de cette série de sept épisodes, diffusée en 2004, écrite et réalisée par Jacques Bouchard avec sa collaboratrice Micheline Richard. Nous la découvrons dans toute son intégrité, sa rigueur, sa démesure, sa folie créatrice, avec ses doutes, ses angoisses mais aussi avec la sérénité retrouvée et le même désir d’aller toujours plus loin. Folie douce raconte avant tout une histoire, un parcours créatif surprenant et émouvant. La série pourrait être définie comme une sorte de musical biographique qui nous fait découvrir, par le biais de témoignages, d’archives rares et de nombreux extraits de spectacles cette créatrice hors du commun qu’est Diane Dufresne. Cette série présente également les points de vue et témoignages de dizaines de personnes qui font partie de l’histoire de Diane Dufresne, comme son conjoint et imprésario Richard Langevin, l’auteur Luc Plamondon, le pianiste André Gagnon, son amie des débuts Ginette Nantel, son attaché de presse de 1985 à 1993 Loui Maufette, le producteur Guy Latraverse, l’auteur-compositeur-interprète Michel Rivard, etc. Des dizaines de témoignages ont également été recueillis à Paris, comme ceux de Juliette Gréco, Charles Aznavour, Maxime Leforestier, Michel Jonasz, Suzanne Avon, le peintre Fernand Leduc et son épouse, l’écrivaine Thérèse Renaud. Écoutez l'entrevue que le réalisateur Jacques Bouchard a accordé à Joël Le Bigot à l'émission Samedi et rien d'autre, le 27 septembre 2003. écoutez l'extrait » 00:05:09 Écoutez l'intégrale de l'émission Les Refrains... consacré au lancement de la série Folie douce, Diane Dufresne en paroles et musique, le 30 septembre 2003. Diane Dufresne entend les extraits de la série pour la première fois. Moments émouvants. [suite »]				La série Folie douce commence par ces mots de Diane Dufresne : « Ma vie a commencé à 50 ans. Ma souffrance a arrêté à 50 ans. J’ai eu des joies, la scène est une grande joie et un grand privilège, mais je pensais que la vie, c’était surtout de la souffrance. » Toutes les blessures de Diane Dufresne, toutes ses ruptures, tous ses recommencements sont autant de « vies » qui s’entremêlent et s’entrechoquent dans une continuité surprenante, agissant comme des détonateurs pour faire exploser sa puissance créatrice. [suite »]