Cette année encore, les Simone tentent de se définir; d’affirmer haut et fort leur indépendance, leur autonomie et leur identité profonde; de se détacher du regard des hommes qui les entourent et d’embrasser leur solitude. Comme il s’agit du combat d’une vie, les obstacles qui les éloignent de leurs objectifs sont quotidiens. C’est dans cette optique que nous suivons les Simone.

Maxim retourne aux études pour enfin se consacrer au domaine qui l’a toujours passionnée : la science politique.

Laurence, toujours plus ambitieuse et en quête de réussite, fait des allers-retours entre son désir d’être authentique et son insatiable besoin d’être aimée.

Nikki est plus que jamais confrontée à ses démons. Est-elle vraiment un esprit libre ou plutôt un esprit en perdition? Les soubresauts de ses envies la forcent à faire un voyage au fond d’elle-même pour finalement trouver ce qui la définit comme femme.

De son côté, Élizabeth essaie de redonner un second souffle à sa vie de couple en devenant plus indépendante et entreprenante. Toutefois, n’est-ce pas plutôt de renouveau dans sa vie en général dont elle a besoin pour se sentir vivante?

Audacieuses et vulnérables, courageuses et fragiles, les quatre Simone n’ont pas fini de nous surprendre. Toutefois, une chose demeure : elles sont vraies. C’est cette vérité crue et déstabilisante qui captive le téléspectateur tout au long de cette deuxième saison.