Québec, championne des affaires
Prenez note que cet article publié en 2006 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
La capitale québécoise doit son titre de meilleure ville au pays pour faire des affaires à la croissance du nombre de permis pour la construction d'édifices commerciaux et à son faible taux de chômage.
La ville de Québec est classée meilleure ville au Canada pour faire des affaires, selon le palmarès annuel du magazine Canadian Business. Les villes de Charlottetown, Saguenay, Laval et St. John's suivent dans l'ordre.
Québec doit son titre à l'importante croissance du nombre de permis de construction d'édifices commerciaux, ainsi qu'à la baisse de son taux de chômage.
Le coût de la vie et les frais d'exploitation des entreprises peu élevés, ainsi que le faible taux de criminalité ont aussi permis à Québec de se démarquer parmi les 25 plus grandes villes canadiennes et 15 autres de moindre envergure.
Ce palmarès réjouit la communauté d'affaires de Québec qui estime que cela suscitera l'intérêt pour investir dans la capitale nationale. Le président-directeur général de l'organisme de développement économique Pôle Chaudière-Appalaches, Paul-Arthur Huot, estime que cette désignation crée un climat d'affaires extrêmement favorable en mettant Québec sous les projecteurs.
Le directeur général de la chambre de commerce des entrepreneurs de Québec, Hugo Lépine, entend d'ailleurs utiliser cette désignation pour faire la promotion de Québec comme endroit propice à la pratique des affaires.
Les villes de Calgary, Montréal et Toronto se classent respectivement 34e, 37e et 38e sur 40, selon ce palmarès.