Les premiers visiteurs du Québec

On a maintenant la preuve que les premiers humains à coloniser le Québec sont arrivés chez nous dès que le territoire a commencé à se libérer des glaciers qui recouvraient auparavant l'ensemble du territoire sur trois kilomètres d'épaisseur. Cela s'est produit, il y a environ 10 000 ans.

Cet été, les archéologues retournent dans la région de Mégantic, où ils ont trouvé la première preuve de cette présence humaine. Comment les chercheurs ont-ils pu repérer l'endroit de ces premiers feux de camp? Pourquoi ont-ils cherché dans cette région? En somme, une expédition scientifique dans le passé dont une équipe de Découverte suivra les préparatifs et le déroulement.

Journaliste : Gilles Provost Réalisateur : Pascal Gélinas

Pour en savoir plus :

La première des premières nations

 Cap Tourmente

Récemment les élèves de deuxième année de l'école Chabot de Charlesbourg ont vécu une journée forte en émotions à la Réserve nationale de faune du cap Tourmente. Ils ont confronté leurs peurs et leurs préjugés et ils ont pris leur pelle, leur filet, leur pot, pour se lancer à la chasse aux bestioles.

L'objectif était d'apprivoiser les insectes et de comprendre leur utilité. Chemin faisant, ils ont croisé les dernières oies qui tardent à décoller vers le nord.

Journaliste : François Sanche Réalisatrice : Chantal Théorêt

Pour en savoir plus :

Réserve nationale de faune du cap Tourmente

Insectarium de Montréal

 Marie-Victorin

Sa passion de la nature amène très tôt le frère Marie-Victorin à parcourir le Québec. Il veut faire l'inventaire de la flore québécoise. Un travail colossal! À cheval, en canot, en voiture, à pied, avec ses collaborateurs, Marie-Victorin herborise, toujours à l'affût de nouvelles plantes.

Il en naît un ouvrage littéraire et scientifique, ce sera son œuvre maîtresse :  La flore laurentienne . Un livre remarquable et qui a été remarqué par les botanistes du monde entier.

Pour en savoir plus :

Le rêve d'un homme

Jardin botanique de Montréal

 Everest : la zone de la mort

L'Everest, le toit du monde, est à 8850m au-dessus du niveau de la mer. À cette altitude, l'air est si ténu qu'il ne soutient plus la vie. En quelques heures, tout ce qui vit s'y détériore. Pourtant, depuis la première ascension, le 29 mai 1953, des hommes et des femmes y viennent nombreux, peinant à bout de souffle, pour vivre un bref moment sur « le toit du monde ». Résultat : une tentative d'ascension de l'Everest sur six se solde par un décès.

Une question critique se pose : quels sont les effets de la privation d'oxygène sur le cerveau? Plus de 50 ans après la première ascension, l'Everest demeure toujours aussi cruel, toujours aussi fascinant, aussi spectaculaire!

Pour en savoir plus :

Yves Laforest sur le toit du monde