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Le Canada est à la traîne pour les dons d'organes et de tissus

Gros plan sur une personne qui tient deux reins en papier dans ses mains.
14 % des donneurs d’organes au Québec ont eu recours à l’aide médicale à mourir en 2022.PHOTO : iStock / Phira Phonruewiangphing
Publié le 4 avril 2024

Le nombre de personnes qui s'enregistrent pour faire un don d'organes ou de tissu est trop bas, et les Canadiens en paient le prix, selon une militante de la région de Durham. Fadia Jerôme-Smith a reçu un rein de la part d'un donateur il y a une dizaine d'années.

Depuis, Mme Jerôme-Smith, de Whitby, fait partie de ceux qui travaillent pour encourager les gens à s'enregistrer pour faire un don d’organe ou de tissu.

L'offre d'organes ne répond pas à la demande et des milliers de personnes sont sur des listes d'attente pour une transplantation.

Selon le gouvernement fédéral, de nombreux Canadiens inscrits sur la liste d'attente meurent avant que des organes appropriés ne soient disponibles.

Mme Jerôme-Smith sensibilise aussi aux disparités en matière de transplantation dans les communautés noires et afro-caribéennes, notamment à travers son compte YouTube African, Caribbean and Black (ACB) Organ Health.

On a de la misère à se faire entendre, estime-t-elle.

« Dépendant du patient de son âge ou d'où elle vient, il se peut qu'il y ait un blocage de langue ou de culture, et ça ne facilite pas la relation entre le patient et le médecin. »

— Une citation de  Fadia Jerôme-Smith, militante, YouTube African, Caribbean and Black (ACB) Organ Health

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