•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

Moteur de recherche, ICI Première.
Moteur de recherche, ICI Première.
Moteur de recherche

Rattrapage du 13 mai 2024 : Le stockage des données mondiales, et la transmission des pathogènes humains dans l’espace

Résumé

Gabrielle Anctil s’interroge sur le risque de disparition de la connaissance scientifique stockée sur les nuages informatiques; Farah Alibay, ingénieure en aérospatiale, parle du transport des pathogènes humains vers les planètes lors des missions spatiales; et Manel Gherari, étudiante au doctorat en informatique à l'Université du Québec à Montréal, se demande si la réalité virtuelle pourrait remplacer la réalité.

  • 19 heures 6 minutes

    Sommaire de l'émission avec Matthieu Dugal et son équipe

  • 19 heures 13 minutes

    Existe-t-il une Arche du savoir en cas de catastrophe mondiale?

    Un serveur et un nuage électronique.

    Pourrions-nous surmonter une perte de données mondiale?

    Depuis l'avènement d'Internet, une gigantesque quantité de données scientifiques est stockée dans le nuage informatique (cloud). La transition vers l'infonuagique est même devenue un passage obligé pour les banques et de nombreuses entreprises. Mais en cas de catastrophe planétaire où le ciel finirait par nous tomber sur la tête, détruisant ces sauvegardes numériques, qu'adviendrait-il de tout ce savoir? Des copies de ces données sont éparpillées un peu partout dans le monde et même dans l'espace, comme l'explique Gabrielle Anctil. Toutefois, la chroniqueuse indique que c'est loin d'être suffisant.
  • 19 heures 24 minutes

    Les migraines oculaires ont-elles un lien avec les migraines traditionnelles?

  • 19 heures 35 minutes

    Les courriels des auditeurs et auditrices

  • 19 heures 38 minutes

    Métavers : la réalité virtuelle pourrait-elle remplacer la réalité?

  • 19 heures 49 minutes

    Nos missions spatiales pourraient-elles transporter des pathogènes?

    Une navette spatiale décolle.

    Les missions spatiales pourraient-elles contaminer l’espace de pathogènes terrestres?

    Faisons-nous attention à ne pas envoyer virus et bactéries terrestres lors des missions spatiales? Car, comme l'indique l'ingénieur en aérospatiale Farah Alibay, « nos robots ne seront jamais parfaitement stériles, c'est impossible ». La chroniqueuse parle notamment d'un métier peu connu : celui d'agents et agentes de protection planétaire, dont la mission est de faire la promotion de l'exploration responsable du système solaire.
  • 19 heures 57 minutes

    Les onglets de nos collaborateurs et collaboratrices, et le mot de la fin