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Un campement est entouré de banderoles disant « You are funding genocide » et « Profs contre le génocide ».
Si le mouvement a été initié par des étudiants des universités McGill et Concordia, des étudiants de l’Université du Québec à Montréal et de l’Université Laval sont aussi présents.PHOTO : Radio-Canada / Carla Oliveira
Publié le 29 avril 2024

Depuis l'apparition du premier, à l'université Columbia, à New York, il y a dix jours, la stratégie du campement se répand dans de nombreux pays. Le Canada ne fait pas exception puisqu'un campement propalestinien a été installé au cours de la fin de semaine sur le campus de l'Université McGill. Les manifestants, qui ne sont pas seulement des étudiants de l'Université McGill, ont érigé des dizaines de tentes et dénoncent la catastrophe humanitaire à Gaza ainsi que les liens entre les institutions académiques et Israël. Entrevue en deux temps. D'abord avec Safa, étudiante en sciences politiques à l'Université du Québec à Montréal. Puis avec Julius Grey, avocat spécialisé dans la défense des libertés individuelles, ancien étudiant et ancien professeur à l'Université McGill.

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