Un nouveau record pour la vente d’une carte Magic
PHOTO : Radio-Canada / Mélanie Picard
Vous naviguez sur le site de Radio-Canada
Aide à la navigationLes brèves sont d’abord conçues pour être consultées dans l’appli RC Info (sur iOS seulement. À venir sur Android). Pour y accéder, balayez ce code QR. À tout de suite!
Les brèves sont d’abord conçues pour être consultées à partir de l’appli RC Info (Nouvelle fenêtre) (sur iOS seulement. À venir sur Android). Voici un aperçu des brèves les plus récentes.
PHOTO : Radio-Canada / Mélanie Picard
C’est le prix (4,1 millions en dollars canadiens) de la plus haute transaction de l’histoire du jeu de cartes Magic : The Gathering. C’est la carte Black Lotus Alpha qui a été vendue à un tel prix.
PHOTO : Instagram Benjamin Be
La vente record s'est déroulée entre Adam Cai de Pristine Collectibles et un acheteur mystérieux qui préfère garder l’anonymat. Certains adeptes de Magic pensent que l’acheteur est Benjamin Be, un collectionneur connu sur les réseaux sociaux. À travers son compte Instagram, il montre son importante collection du jeu, ce qui porte à croire qu’il pourrait être l'acheteur de cette fameuse carte.
PHOTO : Christopher Rush
La Black Lotus Alpha est l’une des plus rares de la collection Magic : The Gathering, mais elle est surtout extrêmement difficile à trouver en bon état, puisque le jeu a plus de 30 ans. La compagnie CGC Cards l’a classée « Pristine 10 » (le meilleur état), ce qui fait d’elle la plus unique de sa catégorie. C’est ce qui explique que les enchères pour se la procurer sont si élevées.
ADAM CAI
Vendeur de la carte Black Lotus Alpha
PHOTO : Radio-Canada / Soumise par : Brook Trafton
Jusqu’à cette transaction, c’est le populaire rappeur Post Malone, également adepte de Magic, qui avait acheté la carte la plus coûteuse de l’histoire du jeu. En août 2023, il s’est emparé d’une carte inspirée de la saga du Seigneur des anneaux au prix de 2 millions de dollars américains (2,8 M$ CA). D’ailleurs, Post Malone possède lui aussi une Black Lotus Alpha achetée pour 800 000 $ US (1,1 M$ CA).
PHOTO : La Presse canadienne / Adrian Wyld
(Et ça concerne les drogues dures au Canada.)
Le chef du Parti conservateur Pierre Poilievre a été expulsé de la Chambre des communes mardi parce qu’il a refusé de retirer ses propos à l’endroit de Justin Trudeau, qu’il a qualifié de « cinglé » (« wacko »). Il l’accuse de vouloir« tuer du monde dans des hôpitaux et dans nos transports en commun » avec les récents projets de décriminalisation des drogues dures, qui doivent au préalable être approuvés par Santé Canada.
PHOTO : Radio-Canada / Patrick Andre Perron
C’est le nombre de personnes qui ont perdu la vie par surdose d'opioïdes depuis 2016 en Colombie-Britannique. En janvier 2023, Santé Canada a temporairement autorisé cette province à décriminaliser la possession de drogues dures en petites quantités jusqu’en 2026, une première au pays.
PHOTO : La Presse canadienne / Chad Hipolito
2511 personnes sont mortes en Colombie-Britannique en raison d’une surdose l’an dernier. Il s'agit d'un record et d'une hausse de 5 % par rapport à 2022. À peine un an après la mise en œuvre de son projet pilote, le gouvernement provincial veut faire marche arrière et a demandé vendredi à Santé Canada de modifier l'exemption qui permet la décriminalisation des drogues.
PIERRE POILIEVRE
Chef du Parti conservateur du Canada, qui réagit à la demande de la Colombie-Britannique
PHOTO : La Presse canadienne / Adrian Wyld
PHOTO : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick
Les résultats en demi-teinte en Colombie-Britannique découragent le premier ministre ontarien, Doug Ford, à appuyer la demande de la Ville de Toronto dans son propre projet de décriminalisation des drogues sur son territoire. La demande d’exemption a été faite en 2022 mais n’a pas encore été approuvée. L’automne dernier, Québec disait pour sa part attendre de voir ce qui se passait à l’ouest avant même d’envisager cette idée.
PHOTO : Associated Press
En 2001, le Portugal a décriminalisé l'usage des drogues et a concentré ses ressources en santé plutôt que dans le système pénal. Là-bas, ce modèle a fait ses preuves et perdure encore à ce jour.
PHOTO : iStock / CRobertson
PHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
Il n’y aura plus de nouvelles toilettes mixtes dans les écoles du Québec, a annoncé mercredi le ministre de l’Éducation Bernard Drainville. Dans leurs projets de construction ou de rénovation, les centres de services scolaires devront toutefois s'assurer d'inclure des toilettes individuelles et universelles, accessibles à tous les élèves sans restriction.
PHOTO : Getty Images / gerenme
Les écoles qui ont déjà des toilettes mixtes pourront les conserver. Pour ce qui est des travaux déjà amorcés, Québec va exiger des modifications pour les projets en cours uniquement si moins de 30 % des plans et devis sont réalisés afin d’éviter des coûts et des délais supplémentaires.
BERNARD DRAINVILLE
Ministre de l'Éducation du Québec
PHOTO : La Presse canadienne / FRANCIS VACHON
Le débat autour des toilettes mixtes s’est envenimé l'an dernier, quand une pétition avait été lancée pour dénoncer l'intention d’une école secondaire de Rouyn-Noranda de transformer des salles de bain genrées en un bloc sanitaire mixte. Cette décision était perçue par certains opposants comme une manière d'accommoder indûment les élèves trans et non binaires. Un comité de sages avait alors été formé pour conseiller le gouvernement.
PHOTO : Radio-Canada / Mario De Ciccio
C’est le nouveau taux horaire du salaire minimum au Québec, à compter de ce 1er mai. Selon le ministre du Travail, Jean Boulet, cette hausse de 50 ¢ touche 200 700 salariés dans la province, dont 111 200 femmes. Il ajoute que la hausse augmente le pouvoir d’achat des travailleurs, tout en respectant la capacité de payer des petites et moyennes entreprises.
PHOTO : iStock / Denis Stankovic
Pour les personnes qui travaillent « à pourboire » (restauration, bars ou hôtellerie, par exemple), le salaire minimum passe à 12,60 $ l’heure. Les personnes qui cueillent des framboises recevront 4,68 $ par kilo, et celles qui cueillent des fraises 1,24 $ par kilo (mais si le rendement est compromis par l’état des champs ou des fruits, c’est le salaire minimum qui s’applique).
Selon le Collectif pour un Québec sans pauvreté, cette hausse « ridicule » illustre un mépris du gouvernement pour les personnes qui travaillent au bas de l’échelle, et constitue « une invitation à fréquenter les banques alimentaires ». Du côté de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante, qui représente des PME, on se dit soulagé par cette « hausse modérée ».
SERGE PETITCLERC
Porte-parole du Collectif pour un Québec sans pauvreté
PHOTO : Radio-Canada / Ivanoh Demers
Le Québec est la province canadienne où on trouve le moins de travailleurs payés au salaire minimum par rapport à l’ensemble des salariés. Selon une analyse de la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, cette proportion était de 4,4 % en 2022-2023, alors qu’elle avoisinait 7 % et 8 % dans les autres provinces.
Le Québec est en milieu de peloton en termes de salaire minimum par rapport aux autres provinces et territoires (le Nunavut a le plus haut : 19,00 $/h et la Saskatchewan le plus bas : 14 $/h). Mais selon l’analyse de la Chaire, si on tient compte de facteurs comme le coût de la vie ou les crédits d’impôt, le Québec est l’endroit où il est le plus facile de couvrir ses besoins de base (logement, nourriture, vêtements, etc.).
PHOTO : Reuters / David Dee Delgado
Les images des campements universitaires montrent souvent des manifestants masqués, adoptant une stratégie de plus en plus répandue parmi les jeunes militants pour protéger leur identité.
PHOTO : Reuters / David Swanson
Cette stratégie vise à contrer ce qu'on appelle le « doxing » qui consiste à divulguer en ligne des informations personnelles de quelqu'un, souvent dans le but de lui nuire. En cachant leur visage, les militants veulent éviter d’être reconnus et ciblés.
PHOTO : La Presse canadienne / Christinne Muschi
Les manifestants craignent principalement de faire face à de l’intimidation ou à des représailles de la part de leur université ou de futurs employeurs. Dans les derniers mois, des personnes ont perdu leur emploi à cause de leur position sur la guerre au Proche-Orient.
Le milliardaire Bill Ackman a par exemple exigé que les universités révèlent l’identité des personnes qui jugent Israël comme « l’unique responsable des attaques du Hamas » en octobre dernier, afin de s’assurer de ne pas les employer.
PHOTO : Reuters / MIKE BLAKE
PHOTO : Reuters / Nuri Vallbona
Des universités, comme celle d'Austin, au Texas, ont aussi pris des mesures pour interdire le port de masques ou de déguisements lors des manifestations sur le campus.
PHOTO : Radio-Canada / Patrick Morrell
Le mouvement doit commencer aujourd’hui.
PHOTO : Reddit
Un mouvement de boycottage du géant de l’épicerie Loblaw, qui attire de plus en plus d’attention depuis des semaines, doit se mettre en branle aujourd’hui. Si les instigateurs ignorent combien de personnes passeront à l’acte, ils espèrent en revanche que la visibilité dont ils jouissent sensibilisera les Canadiens et les gouvernements, et poussera les épiceries à ajuster leurs prix.
C’est le nombre de personnes abonnées à la page r/loblawsisoutofcontrol (Loblaw est hors de contrôle) sur la plateforme Reddit. Lancée en décembre, la page était d’abord un forum humoristique qui visait à dénoncer les prix des aliments dans les épiceries de Loblaw. Quand la page est devenue l’une des plus fréquentées au Canada, l’instigatrice principale y a vu l’occasion d’organiser un mouvement de consommateurs.
PHOTO : Radio-Canada / Patrick Morrell
Parce que c’est l’entreprise qui détient la plus grande part de marché dans le secteur de l’épicerie (29 %). En plus des supermarchés Loblaws, le géant opère Maxi, Provigo, Freshmart, No Frills et T & T, ainsi que les pharmacies Pharmaprix et Shoppers Drug Mart. Loblaw est pratiquement en situation de monopole dans certains secteurs ruraux du pays, souligne une administratrice du groupe. Elle ajoute que le mouvement pourrait prendre de l’ampleur et éventuellement viser d’autres chaînes.
Le PDG de Loblaw, Per Bank, dit prendre au sérieux les doléances des consommateurs et vouloir s’attaquer aux prix des aliments. Il ajoute que tous les épiciers font face à une hausse des prix de leurs fournisseurs, mais que Loblaw semble être une cible « plus facile » parmi les grandes chaînes de supermarchés, en raison de sa notoriété.
PHOTO : Radio-Canada / Isabelle Larose
Pour le spécialiste de l’industrie agroalimentaire Sylvain Charlebois, boycotter un détaillant montre une méconnaissance des facteurs qui influencent la chaîne d’approvisionnement et font fluctuer les prix (les guerres, par exemple). Il reconnaît cependant que des géants comme Loblaw exploitent leur position dominante pour imposer des coûts élevés aux fournisseurs (coûts de marketing, d’entreposage, etc.) et que ces coûts sont refilés aux consommateurs.
Le meilleur moyen de contrer l'abus de pouvoir des grands détaillants est l'instauration d'un code d'éthique, croit Sylvain Charlebois. Une telle mesure permettrait de réguler les augmentations de frais imposées aux fournisseurs et aiderait à stabiliser les prix finaux pour les consommateurs. Ce code est en discussion depuis une dizaine d'années, mais il se heurte aux réticences de certains gros joueurs de l’industrie, dont Loblaw.
PHOTO : La Presse canadienne / Adrian Wyld
Les députés conservateurs l’ont suivi.
Le chef du Parti conservateur Pierre Poilievre a été expulsé de la Chambre des communes mardi pour avoir traité le premier ministre Justin Trudeau d’« extrémiste » et de « cinglé » (wacko).
PHOTO : La Presse canadienne / Adrian Wyld
PHOTO : La Presse canadienne / Patrick Doyle
Pendant son intervention, Pierre Poilievre discutait du projet pilote de décriminalisation des drogues dures en Colombie-Britannique. Le chef conservateur accuse Justin Trudeau d’autoriser ces drogues et de « tuer du monde dans nos hôpitaux et nos transports en commun ».
PIERRE POILIEVRE
Chef du Parti conservateur du Canada
PHOTO : La Presse canadienne / Adrian Wyld
Le président de la Chambre, Greg Fergus, a demandé quatre fois au chef de l’opposition de retirer ses propos « non parlementaires » avant de l’expulser. Pierre Poilievre a proposé au président de remplacer le terme « cinglé » par « radical » ou « extrémiste », sans succès.
Tous les députés conservateurs ont quitté leurs sièges de l'opposition en signe de protestation. Sur X, le chef conservateur a plus tard affirmé avoir été « censuré » par le président de la Chambre des communes.
PHOTO : La Presse canadienne / Adrian Wyld
Après le départ des députés conservateurs, l’atmosphère a radicalement changé à la Chambre des communes, selon Pascale St-Onge, ministre du Patrimoine canadien. « Tout d’un coup on s’est mis à avoir des vrais débats, tout d’un coup on s’est mis à avoir des questions avec de la substance au lieu de seulement des slogans. »
ALEXANDRE BOULERICE
Député du NPD
PHOTO : Getty Images / Kar-Tr
PHOTO : iStock
L’Observateur des technologies médias (OTM), produit par CBC/Radio-Canada, a dévoilé les résultats de son sondage annuel sur le comportement de consommation des médias des jeunes de 2 à 17 ans au Canada.
C’est le pourcentage d’ados qui disent connaître les outils d’intelligence artificielle (IA) générative comme ChatGPT. Toutefois, ce ne sont que 25 % qui les utilisent tous les mois. Et 55 % considèrent leur utilisation pour des devoirs comme de la tricherie.
TikTok est le réseau social le plus populaire, adopté par 53 % des 7 à 17 ans. La plateforme est suivie de près par Snapchat : près de la moitié des jeunes (48 %) l’ont utilisée au cours du dernier mois, et 80 % s’y connectent tous les jours.
PHOTO : afp via getty images / CHRIS DELMAS
Les jeux vidéo sont importants pour les jeunes : 79 % disent avoir joué à un jeu vidéo au cours du mois précédent. Exit les consoles : plus de la moitié (55 %) y jouent sur un téléphone intelligent ou une tablette. Et le cinquième affirme avoir dépensé de l’argent pour acheter de la monnaie de jeu.
Plus de neuf parents sur dix (92 %) ont indiqué prendre des mesures pour veiller à la sécurité de leurs enfants sur les réseaux sociaux.
PHOTO : iStock/Getty Images
PHOTO : iStock / SeventyFour
Dès la prochaine rentrée, l’usage du cellulaire en classe sera interdit en Ontario, vient d’annoncer le gouvernement provincial. Cette politique vise à minimiser les distractions et à améliorer la concentration des élèves.
PHOTO : Getty Images / Kerkez
Ces nouvelles règles divisent les experts, les enseignants et les parents. Les élèves ont aussi des réactions partagées, mais plusieurs sont sceptiques quant à l’application réelle de ces mesures.
AZO NKEM
11e année, Collège français de Toronto
PHOTO : Radio-Canada
HAIFA ZEMNI
Présidente de la Fédération de la jeunesse franco-ontarienne.
Le syndicat des enseignants franco-ontariens estime que cette politique pourrait fonctionner « si c’est bien géré ». Sa présidente, Anne-Vinet Roy, dit « se méfier un peu » et attend de voir la façon dont le personnel sera appuyé pour faire respecter ces mesures « sévères ». La Fédération des enseignants-enseignants des écoles secondaires de l'Ontario (FEESO) craint aussi que ce plan vienne alourdir le fardeau des enseignants.
KAREN LITTLEWOOD
Présidente de la Fédération des enseignants-enseignants des écoles secondaires de l'Ontario (FEESO)
PHOTO : Radio-Canada
Les enseignants devront suivre des formations obligatoires dans le cadre de l’adoption de ces nouvelles politiques. La province affirme qu’elle va offrir des services de soutien aux élèves et aux parents. Toutefois, Doug Ford, le premier ministre de l’Ontario, renvoie la responsabilité aux établissements.
Revenez plus tard ou téléchargez l’appli RC Info iOS pour consulter les brèves des derniers jours.
Télécharger l’appli RC Info(Nouvelle fenêtre)