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Le chef du PQ croit que l’Abitibi-Témiscamingue n’est pas entendue

Paul St-Pierre Plamondon en entrevue à Radio-Canada dans le studio de Rouyn-Noranda.
Paul St-Pierre Plamondon s'est arrêté dans les studios de Radio-Canada à Rouyn-Noranda.PHOTO : Radio-Canada / Jean-François Perron
Publié le 13 mai 2024

Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre-Plamondon, souhaite décentraliser des pouvoirs du gouvernement provincial pour donner plus de moyens aux régions, comme l'Abitibi-Témiscamingue. De passage à Rouyn-Noranda ce lundi, Paul St-Pierre Plamondon partagera sa vision d'un Québec indépendant lors d'un dîner-conférence de la Chambre de commerce et d'industrie.

En ce moment, on est dans un gouvernement très centralisé et s’il y a une région qui, sur le plan des infrastructures, sur le plan de l’écoute, on le voit sur la zone minière, une région qui n’est pas entendue, c’est celle de l’Abitibi-Témiscamingue, dit-il.

Paul St-Pierre-Plamondon réitère notamment vouloir aider les régions qui accueillent des industries à recevoir leur juste part selon un modèle qui n’est pas encore défini.

Il y a une question de négociations, mais, c’est une discussion que j’ai eue souvent avec les villes, qu’ils manquent de revenus par rapport aux défis qu’ils ont. Une des avenues, c’est de voir comment les ressources peuvent être liées à des revenus locaux. C’est sur la table parmi les options qu’on a. Je suis très ouvert à ça, assure le chef du Parti québécois.

Un arrêt à Saint-Édouard-de-Fabre

La terre agricole de Paul St-Pierre Plamondon, à Saint-Édouard-de-Fabre, au Témiscamingue.

La terre agricole de Paul St-Pierre Plamondon, à Saint-Édouard-de-Fabre, au Témiscamingue.

Thomas Gerbet

Le chef du Parti québécois a aussi passé quelques heures sur sa terre agricole, à Saint-Édouard-de-Fabre, au Témiscamingue, qu’il a achetée avec des amis. Ils travaillent sur un plan pour rénover la maison ancestrale.

On se rend compte que la fondation est craquée et qu’il y a plusieurs défis. On veut présenter un plan, tout ça dans le respect de la réglementation. On a plusieurs étapes, on a travaillé là-dessus, mais on est très bien à Saint-Édouard-de-Fabre. C’est un rendez-vous familial entre deux couples, les enfants ont le même âge et ils courent partout. On a eu beaucoup de plaisir, confie Paul St-Pierre-Plamondon.

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