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Le lundi 6 avril 2009 
 


9 h 14 - Réflexion
Google Street View vs le droit canadien
Depuis l'annonce de l'opération Google Street View au Canada, qui offrira des panoramas de 11 villes canadiennes, bien des gens se demandent si Google a le droit de faire une telle opération au pays. C'est-à-dire de prendre des photos de gens et de leurs propriétés, sans leur permission. Car selon la loi canadienne, une personne photographiée doit donner son accord pour que les photos soient publiées. À moins que les photos soient prisent dans un contexte de travail journalistique ou artistique. Une exception qui n'existe même pas au Québec.

Ce matin, on apprend dans un texte de la Presse canadienne que l'histoire se complique, la commissaire adjointe à la protection de la vie privée, Elizabeth Denham, affirme que ce n'est pas parce que des personnes se trouvent dans des endroits publics que le droit relatif au respect de la vie privée ne s'applique plus.

Et c'est probablement en pensant à ça que dès l'annonce de l'opération le mois dernier, Google a aussi spécifié que pour être conforme aux lois locales, les visages et les plaques minéralogiques des véhicules seraient rendus flous par ordinateur avant la mise en ligne. De plus, il serait possible de communiquer avec Google pour signaler une photo offensante. Mais est-ce assez?

Je reviens au papier de l'agence PC, la commissaire adjointe à la protection de la vie privée espère que Google prendra des mesures pour avertir les gens à l'avance que des images seront capturées à un endroit précis pour qu'ils puissent décider s'ils souhaitent ou non s'y trouver. À suivre!

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8 h 37 - Jeux vidéo
La Nintendo DSi sur les traces de la révolution Wii
Déjà en vente au Japon depuis les fêtes et en Europe depuis la semaine dernière, la Nintendo DSi débarque enfin chez nous. Sous les traits d’une console qui a déjà vendu plus de 100 millions d’unités, la DSi marche sur les traces de la révolution Wii en proposant un appareil de divertissement beaucoup plus complet.

D'abord, il y a ces deux lentilles qui amènent une approche plus physique pour certains jeux vidéo. Celles-ci captent l’environnement du joueur et détectent ses mouvements. Avec ces lentilles, on peut également utiliser la DSi comme un appareil photo d'une qualité comparable à celle de la majorité des téléphones cellulaires. Mais avec en plus un laboratoire qui permet les retouches et les modifications amusantes.

Autre nouveauté, le Studio de son DSi. En plus de transformer la console de jeu en baladeur, le studio sonore de la console propose aux utilisateurs d’enregistrer leur voix et de la modifier en appliquant différents effets sonores. Il faut également souligner l'amélioration du son des haut-parleurs de la console et celui offert au casque d’écoute.

L’arrivée de l’accès Internet sans fil embarqué à même la console permet à Nintendo de lancer une boutique Nintendo DSi pour offrir gratuitement des logiciels qui bonifient les fonctions de l’appareil et aussi, pour vendre des jeux et autres logiciels téléchargeables. Côté fureteur, le fabricant japonais poursuit son association avec l’éditeur norvégien Opera et propose une version adaptée du fureteur Internet de la Wii.

Sous le capot, la Nintendo DSi a remplacé le processeur principal de 67 MHz par un cadencé à 133 MHz. Même chose pour la mémoire vive de l’appareil qui passe de 4 Mo à 16 Mo. C'est encore peu de mémoire, mais l'appareil compense par l’ajout d’un lecteur de cartes SD.

Reste à voir maintenant le catalogue des jeux. Nintendo promet deux classes de cartouches DSi. Il y aura les jeux de la catégorie DSi Enhanced Game Card qui pourront aussi être utilisés avec les plus vieilles consoles DS, certaines fonctionnalités en moins. Et il y aura la catégorie DSi Game Card, incompatible avec les consoles antérieures, qui devrait proposer des jeux qui utiliseront à fond les nouvelles capacités de la DSi. Seule ombre au tableau, la DSi a dû laisser tomber son port pour accueillir les jeux de la génération Game Boy Advance.

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0 h 04 - Internet
Vos coordonnées sur une page monnom.tel
Depuis quelques semaines il est maintenant possible pour les particuliers de réserver un nom de domaine se terminant par l'extension .tel. Pourquoi un tel domaine? Pour y présenter l'essentiel de ses coordonnées téléphoniques, postales, webbiennes, courriels et quoi encore. Et la page d'info s'affiche aussi bien dans la fenêtre d'un fureteur d'ordinateur que dans celle d'un téléphone cellulaire.

Vous désirez un exemple concret, je vous suggère de regarder le petit vidéo joint à ce texte pour mieux comprendre l'intérêt du service... En passant, si le sujet vous intéresse, je vous suggère une visite au site Tout point tel pour suivre l'info relative au suffixe .tel.



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0 h 04 - Logiciel
L'iPhone fait rêver les développeurs de logiciels
Depuis vendredi, le New York Times présente divers articles sur le potentiel commercial du téléphone iPhone pour les développeurs de logiciels et de services. Je souligne particulièrement le papier de vendredi qui illustre le cas de gens qui ont fait fortune avec des petits logiciels vendus sur App Store. On y mentionne notamment le cas des créateurs du logiciel iShoot, qui a généré plus de 800 000 dollars en moins de 5 mois ou encore, l'histoire des créateurs de iSteam qui ont amassé 100 000 dollars en trois mois.

Et puis, il y a ce papier de dimanche sur la grande question : est-ce que la sortie du iPhone 3.0 cet été aura autant d'impact sur les développeurs que la version précédente. Je vous rappelle que la nouvelle version permettra aux développeurs et éditeurs de commercialiser ou de vendre des produits ou services à partir des applications qui seront distribuées par le service App Store.

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25 Janvier 2010
 Durée : 00:06:30
28 Novembre 2009
 Durée : 00:13:46
11 Novembre 2009
 Durée : 00:19:52
11 Novembre 2009
 Durée : 00:33:54
10 Novembre 2009
 Durée : 00:14:36
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