La FINUL commence à se déployer au Liban. Crédit: AFP
La FINUL commence à se déployer au Liban. Crédit: AFP
LIBAN, Conflits
Gardien de la paix

Un nombre croissant de pays donnent leur appui à un renforcement à la (FINUL) au Liban-Sud. 
 
En Italie, le gouvernement est prêt à envoyer jusqu'à 3000 soldats, mais veut plus de précisions sur le mandat de la FINUL. 
 
L'ONU compte sur la France pour fournir l'ossature de la force. Cette dernière a d'ailleurs offert 200 hommes en renfort d'urgence, qui s'ajouteront aux 200 Casques bleus français de la FINUL actuelle. Un chiffre bien en deçà des espoirs des Nations unies. 
 
Le premier ministre Stephen Harper a déjà affirmé que le Canada ne participera pas à la force de maintien de la paix au Liban. 
 
L'ONU espère être en mesure d'envoyer sur le terrain 3500 hommes d'ici 10 jours. Face au refus de la milice chiite Hezbollah de désarmer et au flou entourant le mandat et les moyens de la FINUL, la communauté internationale hésite à s'engager militairement sur le terrain. 
 
La résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU exige un renforcement de la FINUL, qui existe depuis 1978 et compte actuellement 2000 hommes. Ses effectifs doivent être portés à 15 000 hommes et son mandat, élargi. 
 
Akli Aït Abdallah est au sud du Liban. Il a rencontré le commandant de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), Alain Pellegrini.
 
Dernière mise à jour: le 18 août 2006


 


Reportage d'Akli Aït Abdallah
 

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«Liban : La FINUL commence à prendre forme»
Nouvelle de Radio-Canada.ca - 18 août 2006

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