Gilles Duceppe, chef du BQ, entouré d'André Boisclair, chef du PQ, d'Henri Massé, président de la FTQ, et du député libéral Denis Coderre
Gilles Duceppe, chef du BQ, entouré d'André Boisclair, chef du PQ, d'Henri Massé, président de la FTQ, et du député libéral Denis Coderre
QUÉBEC, Société
Le Québécistan

Dans une lettre envoyée le 8 août, l'ambassadeur israélien au Canada, Alan Baker, s'en prend au chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe. Il lui reproche sa participation à une marche qui dénonçait la guerre au Liban.  
 
Lors de cette manifestation, qui avait réuni environ 15 000 personnes à Montréal, des gens ont scandé des slogans anti-israéliens et d'autres ont brandi des drapeaux du mouvement chiite libanais Hezbollah.  
 
Il n'en fallait pas plus pour qu'une chroniqueuse du National Post écrive sur la montée du «Québécistan». À la fin de cette chronique sur le nationalisme québécois, Barbara Kay demandait à ses lecteurs : «Est-ce qu'un Québec indépendant serait l'ami des terroristes?» 
 
La guerre au Liban n'est pas perçue de la même façon au Québec et dans le reste du Canada. Comment expliquer cette différence? 
 
Frédéric Nicoloff s'entretient avec Richard Nadeau, professeur de sciences politique à l'Université de Montréal.
 
Dernière mise à jour: le 17 août 2006


 


Entretien avec Richard Nadeau
 

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«Guerre au Liban : Duceppe et Harper critiqués»
Nouvelle de Radio-Canada.ca - 16 août 2006

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