Le glas a malheureusement sonné pour Julie Aubé, qui défendait Moncton mantra. Éliminée de la course, la vaillante combattante, qui a tout fait pour magnifier l'œuvre de Gérald Leblanc, se rallie désormais à Romeo Saganash. Cheval Indien, dit-elle, « est un outil puissant pour changer le monde ». Même si elle trône au sommet du classement, France D'Amour se tient tout de même sur un fil fragile, surtout après la performance offensive de ses adversaires.
Au jour 3 du Combat national des livres, les participants et participantes doivent défendre la force et l'originalité de l'œuvre :
Dominique Demers
« Ce livre est un page turner. Il y a beaucoup d’action et beaucoup d’émotion. […] Sa franchise nous fait du bien. [L'autrice] dit les choses comme elles sont. Elle s’exprime avec passion. Elle est intense et vulnérable. »
France D’Amour
« Il y a une légèreté dans cette lecture grâce à sa plume si limpide et claire. On pense être dans un roman à l’eau de rose […], mais aux trois quarts du roman, un événement éclabousse la vie de tous les personnages. »
Romeo Saganash
« Ce qui fait la force de ce roman, c’est son auteur. C’est un conteur doué et sublime. Quand on se retrouve, comme lui, dans ces situations [l’expérience des pensionnats], il faut trouver des moyens de survie pour s’évader. »
Alpha Toshineza
« On trouve dans cet ouvrage une clé pour nous aider à construire un monde meilleur. Ce livre m’a appris que le métissage est possible. Il se fait par l’échange, […] en laissant à chacun son espace, le droit d’être généreux et d’aller vers l’autre. C’est une histoire universelle, une leçon de vie. »