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Boucard Diouf et l’amour du Saint-Laurent

Boucar Diouf en studio
En avril, Boucar au Grand ThéâtrePHOTO : Radio-Canada / Jean-Simon Fabien
Publié le 19 mars 2018

« Les gens vont rire toutes les 10 secondes jusqu'à la fin, promet Boucar Diouf au sujet de son nouveau spectacle dans lequel il raconte son amour pour le fleuve Saint-Laurent. Mais c'est un sujet sérieux. »

Dans ce quatrième spectacle intitulé Magtogoek, le chemin qui marche, Boucar Diouf amène son public en croisière sur le fleuve, qu’il considère comme le « cœur du Québec ».

« Pour moi, le fleuve, c’est le sang, c’est la terre principale du Québec. La chance que le Québec a, c’est son emplacement qui lui donne un accès privilégié sur le Saint-Laurent », explique-t-il.

Avec ce nouveau spectacle, l’humoriste et conteur souhaite rappeler l’importance du cours d’eau « souvent banalisé », selon lui.

« Nous sommes 97 % de la population du Québec à vivre sur les bassins versants du Saint-Laurent. Au-delà du fleuve, on banalise beaucoup l’eau, parce qu’on en a beaucoup […] L’eau, c’est une molécule sacrée ».

Titulaire d’un doctorat en océanographie, Boucar Diouf souhaite comme d’habitude utiliser l’humour « pour amener des choses complexes aux gens ».

« Récemment, on apprenait que l’industrie d’embouteillage de l’eau aux États-Unis a dépassé les boissons gazeuses en termes de revenus. La richesse pour les gens ici demain, c’est l’eau. Il faut travailler à les conscientiser là-dessus. »

Magtogoek, le chemin qui marche sera présenté le 12 et 13 avril à la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec.

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