Cindy Labrecque prend le virage écoresponsable. Près de 20 ans après sa sortie de l'école, l'artiste de Québec admet avoir toujours priorisé l'esthétisme dans ses créations, sans trop se soucier de la provenance des matières.
Toutefois, au fil des années, elle s’est questionnée sur son empreinte écologique. Sachant que la céramique n’est pas recyclable, elle fera désormais des choix différents. Elle souhaite notamment transformer en poudre des pièces déjà cuites pour réutiliser la matière, donner une deuxième vie aux résidus de glaçure et surtout, établir des relations avec d’autres entreprises pour favoriser l’économie circulaire. Utiliser les déchets des producteurs de verre, de marbre ou encore de granit sont des pistes qu’elle étudie actuellement.