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Éducation à la sexualité : un parent fransaskois plaide pour la discussion

Un homme tient une pancarte avec une inscription en anglais sur le respect de l'identité de genre.
Selon les nouvelles directives, les parents doivent donner leur accord aux écoles sur l'utilisation du nom ou du genre préféré des élèves de moins de 16ans à l'école.PHOTO : Radio-Canada / Camille Cusset
Publié le 15 septembre 2023

Le premier ministre Scott Moe révélait cette semaine qu'il serait prêt à invoquer la disposition de dérogation pour défendre sa politique sur l'éducation à la sexualité et le consentement parental. Cette démarche, soutient Scott Moe, est destinée à permettre aux gouvernements élus de « représenter leurs électeurs ». Ce récent développement porte à s'interroger sur l'opinion des parents au sujet de la politique.

Comme toute politique, quelle que soit la situation, il va y avoir des opinions divisées, indique d'entrée de jeu le père fransaskois, Patrice N’Gouandi. Je pense que c’est sain d’avoir une conversation.

Il note que les sujets d'identité de genre, bien qu’ils aient été la réalité pour plusieurs depuis longtemps, ne sont pas connus de tous depuis aussi longtemps, d’où l’importance de laisser diverses opinions s’exprimer.

Patrice N’Gouandi plaide d’ailleurs pour une discussion ouverte avec un jeune de moins de 16 ans, pour s’assurer que les décisions sur le nom et le pronom soient prises en toute connaissance de cause. En tant que père, j'aimerais être associé et avoir une discussion avec mon enfant, dit-il.

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