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L'émotion se lit dans le visage d'Émilie Bibeau qui a transformé le segment « Cher journal » en une autofiction.
L'émotion se lit dans le visage d'Émilie Bibeau qui a transformé le segment « Cher journal » en une autofiction.PHOTO : Radio-Canada/Olivier Paradis-Lemieux
Publié le 12 février 2016

Voilà qu'arrive la Saint-Valentin, cette fête « bouche trou » entre Noël et Pâques. À tous ceux qui ont encore le coeur vintage, gonflé de romantisme et d'espoir, Émilie Bibeau offre ce joli texte d'autofiction. 

« Mais en fixant le plafond, y a toujours une petite partie de toi qui se dit qu’il y a peut-être quelqu’un qui va entendre tout ça, pis qui va s’y reconnaître, pis que ça va lui faire doux. »

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