La colère gronde chez plusieurs résidents concernant la coupe de 160 000 arbres dans le parc Stanley, en raison d'une infestation par l'arpenteuse de la pruche, un insecte ravageur.
Une pétition remet en question cette coupe et demande la préservation du parc Stanley. Elle a amassé plus de 16 000 signatures.
Richard Hamelin, professeur du département de foresterie de l'Université de la Colombie-Britannique, revient sur la logique derrière cette opération.
Au cours des décennies, moi ce que je prédis, c’est que si on avait laissé tous ces arbres-là, il y a de grandes parties du parc qu’on aurait dû fermer à cause du danger de ces chicots morts qui seraient un peu partout dans le parc
, pense Richard Hamelin.