•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

Des affiches d'agent d'immeubles qui portent la mention « vendu ».
La National Association of Realtors a accepté de payer 418 millions de dollars américains pour mettre fin aux poursuites judiciaires engagées par des vendeurs de maisons. Ils affirment que le groupe avait artificiellement gonflé les commissions immobilières.PHOTO : Radio-Canada / Yoann Dénécé
Publié le 21 mars 2024

Un règlement judiciaire aux États-Unis pourrait avoir des impacts sur les montants payés en commissions sur les ventes de propriétés au Canada. La semaine dernière, la National Association of Realtors a accepté de payer 418 millions de dollars américains pour mettre fin à une poursuite judiciaire déposée par des propriétaires qui ont soutenu que le groupe avait artificiellement gonflé les commissions immobilières - en général de 6 % - sur le prix des propriétés aux États-Unis. Ce règlement pourrait avoir des répercussions importantes sur l'industrie et par extension sur le coût de l'immobilier. Simon Bilodeau, courtier hypothécaire auprès de Dominion Lending - Mortgage Negotiators à Vancouver, explique.

C’est une nouvelle très importante parce que c’est la première fois que la façon dont la structure des commissions des agents immobiliers va changer, explique Simon Bilodeau.

Le règlement survient au moment où une demande de recours collectif national est déposée devant les tribunaux canadiens. Les demandeurs affirment qu'ici aussi l'industrie du courtage immobilier gonfle les montants de commissions.

Recommandé pour vous

Consultez notre Politique de confidentialité. (Nouvelle fenêtre)
Ces contenus pourraient vous intéresser