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Pouvoir revivre la fièvre des JO d’hiver 20 ans après

Des danseurs autochtones s'exécutent
Une scène de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de VancouverPHOTO : The Canadian Press / DARRYL DYCK
Publié le 15 juin 2022

La durabilité et la conscience climatique sont au cœur du plan déposé mardi par les représentants de quatre Premières Nations et des villes de Vancouver et Whistler dans le but d'obtenir les Jeux olympiques d'hiver en 2030. Le groupe prévoit notamment de réutiliser plusieurs des emplacements qui ont accueilli des épreuves lors des Jeux de 2010 à Vancouver. Philippe Melun, gestionnaire du service à la clientèle au centre de glisse de Whistler, estime que les résidents de Whistler voient d'un bon œil cette candidature.

« Il y a un engouement pour les Jeux. J’étais ici en 2010 et on a eu une très belle expérience donc on est prêt à revivre l’expérience. L’implication des Premières Nations va tout changer pour le mieux, je crois », dit-il.

Il y a un mois, une délégation du Comité international olympique était de passage à Vancouver et Whistler pour une visite technique des installations. Elle s’est arrêtée au centre de glisse.

« C’est une évaluation visuelle pour l’instant pour voir où on en était et avoir une discussion avec notre équipe. Notre installation va bien, on l’entretient bien. On va recevoir deux coupes du monde à l’automne, c’est un peu comme des minis olympiques, ce sont les mêmes athlètes alors si on est capable d’avoir des coupes du monde, on est capable d’avoir les Jeux olympiques. »

Philippe Melun espère revivre cette expérience, cette fois-ci avec ses enfants, pour qu’ils soient témoins de ce moment inspirant.

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