Des chercheurs britanniques ont établi que ces organismes, parmi les plus primitifs à vivre sur terre, pouvaient aspirer et filtrer jusqu'à 10 000 litres d'eau par jour, dépassant de 1000 fois la capacité des machines humaines. Elles captent ainsi l'ADN de tous les vertébrés qui se sont trouvés dans leur rayon. Marianne Désautels-Marissal, journaliste scientifique, explique à Catherine Perrin que l'éponge peut ainsi nous aider à recenser la biodiversité dans les cours d'eau.
Il est également question d’intelligence artificielle pour les gens souffrant de démence.