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Claudie Mercier dans son salon.
Claudie Mercier a participé à l'édition 2019 d'Occupation double.PHOTO : Radio-Canada
Publié le 22 septembre 2023

La première question, quand vient le temps d'aborder le vaste sujet que sont les téléréalités, c'est l'ancienne participante à Occupation double (OD) Claudie Mercier qui la pose : « Est-ce qu'il y a quelqu'un de normal dans la vie? » Avant de participer à OD, en 2019, elle souligne qu'elle était persuadée qu'elle allait se faire briser le cœur durant le tournage. C'était son seul préjugé par rapport à l'émission.

Le journaliste culturel Hugo Dumas explique qu’il est toujours possible, selon ses désirs et ses capacités, de trouver une niche télévisuelle dans laquelle on peut vivre une certaine expérience.

« Les gens qui vont là ne sont pas tous des gens sautés ou en soif de gloire. Il y a des gens qui veulent y aller pour sortir de leur zone de confort. »

— Une citation de  Hugo Dumas

La psychologue Marie-Anne Sergerie abonde dans le même sens. Elle souligne qu’un des désirs les plus importants qu’elle voit chez les participantes et les participants, c’est celui de sortir de leur zone de confort, de se dépasser ou encore de repousser leurs limites.

Les trois personnalités débattent également des différents profils psychologiques qu’on trouve dans les émissions de téléréalité, de l’attitude de plus en plus violente du public au fil des ans, ou encore de l’accès à des soins de santé mentale pour les participants et participantes durant l’aventure.

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