Depuis que la microbiologiste Chloé Savard s'est prise de passion pour l'imperceptible, l'envie de faire partager son amour pour l'infiniment petit ne la quitte plus. C'est pourquoi elle s'est mise à publier régulièrement des photographies réalisées au microscope sur les réseaux sociaux. Le grossissement maximal de minuscules organismes marins, de morceaux de gingembre ou encore de sable donne des images stupéfiantes qui plaisent à un nombre grandissant de personnes, selon la scientifique.
Contrairement à l’infiniment grand qui peut nous étourdir, l’infiniment petit, lui, donne un sentiment d’appartenance, selon Chloé Savard.
La microbiologiste raconte aussi en quoi l’observation de ce qui est impossible à voir à l’œil nu l’a aidée à trouver le sens de [sa] vie
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« [La microbiologie] me permet d'être en contact avec mon environnement et de comprendre ce qui m'entoure. »