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Trente ans plus tard, les problèmes qui ont mené à la crise d’Oka ne sont pas réglés

La crise d'Oka a marqué l'histoire politique québécoise.
La crise d'Oka a marqué l'histoire politique québécoise.PHOTO : Getty Images / AFP/Robert Giroux
Publié le 4 juillet 2020

En 1990, une intervention policière sur des terres revendiquées par les Mohawks de Kanesatake, au nord-ouest de Montréal, allait coûter la vie à un policier de la Sûreté du Québec. Le drame était l'aboutissement de mois de tensions entre Mohawks et non-Autochtones de la région d'Oka, et le début d'un affrontement très musclé entre des membres de cette communauté autochtone et les forces de l'ordre. Il a fallu 78 jours pour dénouer ce conflit, sans faire d'autres victimes. Il y a quelques mois, des blocages ferroviaires, dont celui de la nation wet'suwet'en en Colombie-Britannique, ont démontré le manque de cohabitation saine entre les deux camps. Alain Gravel discute avec ses invités de ces problèmes toujours actuels et des possibilités de réconciliation entre Autochtones et non-Autochtones.

Les invités :

  • Serge Simon, grand chef de Kanesatake
  • Marc Miller, ministre des Services aux Autochtones
  • Pascal Quevillon, maire d’Oka
  • Sylvie D’Amours, députée de Mirabel, ministre responsable des Affaires autochtones et ministre responsable de la région des Laurentides
  • Sonia Bonspille Boileau, cinéaste
  • Melissa Mollen Dupuis, militante innue
  • Alexis Wawanoloath, juriste

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