Près de 42 000 personnes qui portent en elles l'ADN d'esclaves décédés au XIXe siècle viennent d'être identifiées grâce à des tests génétiques, aux États-Unis. Une découverte qui fournit de précieuses informations généalogiques, mais qui soulève aussi plusieurs questionnements éthiques. Marie-Pier Élie en discute avec Simon Gravel, professeur associé en génétique humaine à l'Université McGill.
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Des descendants d’esclaves retracés grâce à des tests d’ADN
La fonderie Cactoctin au Maryland aux États-Unis.PHOTO : Pickering, E. H., Librairie du Congrès américain
Publié le 12 août 2023