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La propreté en ville, une responsabilité partagée

Des enfants avec un balai dans une ruelle
Une corvée de nettoyage dans une ruelle de MontréalPHOTO : Radio-Canada
Publié le 14 avril 2023

Chaque printemps, la question de la propreté urbaine semble revenir à l'avant-plan. Montréal est-elle une ville sale? Plusieurs se posent la question, comme on le fait depuis... le 19e siècle, selon l'architecte et urbaniste François Racine. Il faut dire qu'à l'époque, on parlait peut-être davantage de salubrité, tandis qu'aujourd'hui, on s'intéresse plutôt à la qualité de nos espaces publics et des aménagements de nos villes. Néanmoins, M. Racine croit que la responsabilité de la propreté en ville est partagée entre l'administration municipale et la population.

Certains secteurs de la métropole ont des escouades de propreté pour soigner l’apparence, explique François Racine. On n’a qu’à penser au Vieux-Montréal ou au Quartier latin, par exemple.

Les autres quartiers peuvent compter sur les cols bleus pour l’entretien, mais M. Racine croit que pour le suivi au quotidien, chaque citoyen ou citoyenne peut y mettre du sien.

Il n’y a pas de problème à sortir le balai pour balayer l’accumulation de gravier sur notre trottoir qui est devant notre porte ou nettoyer le pourtour de la fosse de plantation des arbres s'il y a des papiers qui se sont accumulés. C’est juste un beau geste de civisme!

Dans cette entrevue, il raconte un peu sur l’histoire du concept de propreté urbaine et explique la complexité de la logistique de nettoyage pour la Ville.

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