Il y a plusieurs années, la maison de production Avanti a demandé une injonction aux tribunaux afin d'empêcher un producteur de distribuer un film pornographique avec les personnages de La petite vie. Tous les éléments de la série étaient copiés pour ce film qui allait porter le nom de La petite vite, raconte Isabelle Richer : « La musique, les décors, l'ouverture de l'émission. Alors c'était carrément du plagiat ». La maison de production a finalement obtenu cette injonction, mais en deuxième instance, avec la Cour d'appel du Québec.
« Au-delà de l’aspect comique, c’est aussi l’appropriation du concept. »
Dans sa chronique, elle explique dans quelles circonstances les droits d’auteur protègent ou non des séries ou des personnages, que ce soit dans des fictions ou même des revues parodiques de fin d’année.