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« Tinder littéraire » entre Catherine Leroux et Simon Boulerice

Simon Boulerice, souriant, est assis dans un fauteuil rose.
Simon BoulericePHOTO : Radio-Canada / Ronald Georges
Publié le 29 février 2024

« Juste la regarder me rend heureux, mais la lire, ça m'enivre. » Simon Boulerice est emballé par sa rencontre avec Catherine Leroux, une autrice qui, comme lui, adore jouer avec les mots. Pour ce « Tinder littéraire », le duo plonge la tête première dans leur univers respectif.

Catherine Leroux souligne que Simon Boulerice a été pour elle l’un de ses premiers fidèles lecteurs. « Je pense qu’avant l’impression d’avoir un rayonnement, [Simon] était l’un des premiers à me soutenir, bien avant que ça soit cool de le faire », ajoute-t-elle.

« On est des éponges, on est touchés par la vie des autres. »

— Une citation de  Simon Boulerice

Au cours de cette discussion, les deux réfléchissent à la mécanique de leur écriture, de leur errance, à l’ambition derrière leurs histoires, à l’urgence d’achever les projets, ou à l’inverse, à l’idée de prendre son temps.

L’auteur de Pleurer au fond des mascottes et l’autrice de La marche en forêt discutent également de leur manière de composer avec les ratages et réitèrent l’importance d’écrire même si le monde brûle.

« Quand le monde brûle, on a encore plus besoin de ressentir notre humanité. Je pense que la littérature fait ça de toutes sortes de façons. Elle joue sur les muscles empathiques, sur les muscles de la compassion, de l’imagination, ce dont on a besoin quand c’est difficile. »

— Une citation de  Catherine Leroux
Une femme pose les bras croisés.

Catherine Leroux est éditrice pour la maison d'édition Alto.

Audrée Wilhelmy

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