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Les défis d’étudier et de travailler en français dans le domaine scientifique

Quatre personnes portant chacune un casque examinent un rocher.
Lorraine est une franco-ontarienne née dans la région de Toronto, d’un père montréalais et d’une mère torontoise. Jeune fille, Lorraine a toujours parlé en français à la maison, ce que son père a appelé « une forteresse de la langue et culture française ». (Photo d'archives)PHOTO : Radio-Canada
Publié le 21 mars 2024

Pour la Journée internationale de la francophonie, nous avons discuté des façons de faire vivre son français lorsque l'on étudie et travaille dans le domaine scientifique au Canada avec Loraine Lebeau, géoscientifique et gestionnaire à la Commission géologique du Canada. Elle témoigne des efforts pour utiliser sa langue dans son quotidien.

« Je n’ai pas été capable d’étudier la géologie en français en Ontario. »

— Une citation de  Loraine Lebeau, géoscientifique et gestionnaire à la commission géologique du Canada

Faute de possibilités en français, elle a poursuivi son éducation en anglais à l’Université Laurentienne de Sudbury. Afin de garder sa langue, elle devait « écouter des balados en français », appeler sa famille ou bien se diriger vers des lieux où la francophonie était présente.

Il faut « lutter pour notre langue » pour « ne pas la perdre », explique-t-elle.

Mme Lebeau nous rapporte également que les réalités ne sont pas les mêmes dans toutes les régions du Canada. Lorraine Lebeau a eu l'occasion de travailler à Iqualuit au Nunavut, où selon elle, il y a « une culture vive francophone » avec plusieurs activités permettant de faire vivre la langue française.

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