À Montréal, la majorité des commerçants accueillent toujours leurs clients uniquement en français, mais ils sont tout de même de moins en moins nombreux à le faire, alors que l'expression « bonjour-hi » a connu une progression dans les dernières années. C'est une étude de l'Office québécois de la langue française (OQLF) qui en arrive à ce constat. Discussion avec Jean-François Roberge, ministre de la Langue française.
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Freiner l'anglicisation des centres-ville québécois, réalisable?
Le ministre Jean-François RobergePHOTO : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel
Publié le 23 avril 2024