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La professeure Alison Matthews David de l’Université métropolitaine de Toronto présente une chaussure de l'exposition Exhibit A: Investigating Crime and Footwear.
La professeure Alison Matthews David de l’Université métropolitaine de Toronto est la co-curatrice de l'exposition sur les souliers et le crime au Bata shoes museum. PHOTO : Radio-Canada / Gabrielle Sabourin
Publié le 20 avril 2024

L'exposition Exhibit A: Investigating Crime and Footwear au musée Bata de la chaussure, à Toronto, explore les multiples facettes des chaussures dans le contexte de la criminalité.

Que ce soit sous l'angle des détectives, des criminels, des suspects ou des prisonniers, l'exposition regroupe plusieurs souliers qui révèlent une page d'histoire, dont le fait que les chaussures, voire les empreintes, constituaient jadis des indices privilégiés sur les scènes de crime.

« On croyait que c'était plus fiable que les témoignages en fait. Par exemple, toutes les chaussures étaient très individualisées. Si l'on était un ouvrier, on avait des chaussures avec des clous, et les clous étaient mis à la main. Donc, on pouvait vraiment voir qui avait fait la chaussure, qui l'avait portée, comment il ou elle marchait. On avait beaucoup d'indices à partir de la chaussure. »

— Une citation de  Alison Matthews David, professeure à l’Université métropolitaine de Toronto

La co-curatrice de l'exposition, la professeure et historienne Alison Matthews David, de l’Université métropolitaine de Toronto, offre une visite à l'animatrice Gabrielle Sabourin de l'émission À échelle humaine.

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