Près de 10 % des jeunes québécois ne sont pas sur les bancs d'école en ce début d'avril. C'est ce qui est rapporté dans La Presse mardi matin. Le psychologue spécialisé en réussite scolaire, Égide Royer, soutient que la situation est préoccuppante.
Selon le spécialiste, il y a tout de même une distinction à faire. C'est entre absentéisme ponctuel, du genre tournoi de hockey, voyage avec les parents, etc., et l'absentéisme chronique où le jeune est carrément absent très, très fréquemment et qu'on est en mesure d'identifier des causes associées soit à l'intimidation, maladie mentale, retard scolaire.
« La fréquence scolaire est importante pour la réussite. »
Égide Royer ajoute qu'il faut aller aux nouvelles
pour comprendre pourquoi le jeune a un haut taux d'absentéisme.