La capitale fédérale accueille cette semaine les délégués de 175 pays pour l'avant-dernière séance de négociations d'un traité international sur la pollution par le plastique. « La crise climatique, la crise de la biodiversité... Il y a des traités internationaux pour ça. Pour le plastique qui est la troisième crise, il n'y en a pas », a rappelé, le responsable de la campagne Climat-Énergie à Greenpeace Canada, Patrick Bonin, en entrevue à l'émission Les Matins d'ici.
Le seul moyen d’arriver à réduire cette pollution-là qui est en constante croissance, c'est de s'attaquer à la production
, insiste-t-il. C'est pour ça que l'on demande un traité contraignant : pour avoir une cible mondiale, pour avoir comme objectif de réduire de 75 % la production d’ici 2040.