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Début du contenu

Le balado De la glorieuse fragilité.

De la glorieuse fragilité

  • Lucie Boissinot - Quitter la scène pour prendre soin d’un enfant

    Lucie Boissinot était au sommet de son art lorsque sa vie a basculé. Son chorégraphe Jean-Pierre Perreault, dont la renommée était internationale, est tombé gravement malade. Puis, l'un de ses enfants a connu des problèmes de santé importants. « J'ai alors compris qu'il me faudrait me vouer entièrement à mon enfant », raconte la danseuse.
  • Daniel Soulières - Quitter la danse, le corps usé

    Daniel Soulières a toujours voulu danser jusqu'à son bel âge. S'il a réussi en partie son pari, une blessure au genou a fini par le rattraper. « Je n'aimais pas dire aux chorégraphes "je ne peux pas faire ça, mon corps est en souffrance". Je ne sais pas si je vais danser à nouveau un jour », confie le danseur.
  • Annie-Claude Coutu Geoffroy - Quitter la danse, déçue du métier

    « J'ai arrêté la danse parce que j'en avais marre de donner, donner, donner, sans assez recevoir. » Annie-Claude Coutu Geoffroy adorait le côté créatif et physique de la danse, mais beaucoup moins l'aspect compétitif. Bien qu'elle ne regrette pas son choix de changer de métier, elle ressent depuis un fort besoin de bouger difficile à combler.
  • Laura Pinsonneault-Craig - Choisir la danse ou la médecine

    Après avoir fait l'École de danse contemporaine de Montréal, Laura Pinsonneault-Craig s'est réorientée en médecine. Un choix déchirant. « Une des raisons pour lesquelles je ne suis pas devenue danseuse professionnelle, c'est que je ne croyais pas assez en moi », explique-t-elle. Une question la tourmente encore aujourd'hui : si elle s'était lancée, aurait-elle réussi à faire sa place?
  • Judith Lessard-Bérubé - Perdre le sens de son art

    Quitter la danse a été un grand soulagement pour Judith Lessard-Bérubé. La charge mentale associée à l'entraînement physique et l'alimentation était devenue un poids, et elle ressentait souvent de la culpabilité. « Je sentais la fin arriver depuis quelques années. Il faut être sincère, sinon, comment le public peut-il nous suivre en retour? », se demande-t-elle.
  • Catherine Martin - Quitter la danse, amoureuse

    Catherine Martin ne pensait jamais arrêter de danser. « C'est arrivé par les blessures, la souffrance physique. Il n'y avait plus de joie. Je suis allée dans un monastère pour me retrouver. Et je l'ai vu, l'amour... », raconte-t-elle. En voyant l'homme de sa vie, assis droit en position du lotus, Catherine a réalisé du même coup ce qui manquait à sa vie : la stabilité.