Il ne porte pas de montre, ne regarde jamais le parcours en amont ni les bornes de kilométrage lorsqu'il court un marathon. Tout ce qui importe à Daniel Lequin, c'est la sensation de bien-être que lui procure la course. Chroniqueur à RDS, il raconte à Jean-Philippe son initiation à la course alors qu'il avait 40 ans, mais aussi le danger d'être trop intense dans une activité.
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