Prenez note que cet article publié en 2005 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Une étude canadienne montre que les jeunes qui mangent à la cafétéria de l'école ont 39 % plus de risques d'avoir un surpoids ou d'être obèses que les élèves qui apportent un repas préparé à la maison.
La hausse du nombre de cas d'obésité chez les jeunes inquiète les autorités sanitaires canadiennes depuis
quelques années.
En effet, une étude commandée par l'Institut canadien d'information sur la santé montre que les jeunes qui mangent à la cafétéria de l'école ont 39 % plus de risques d'avoir un surpoids ou d'être obèses que les élèves qui apportent un repas préparé à la maison.
La recherche montre également que les enfants qui fréquentent une école où l'activité physique est rare sont plus susceptibles de souffrir d'obésité ou de surpoids que ceux qui participent à des cours d'éducation physique deux fois par semaine et plus.
Autres données intéressantes:
Les
enfants qui soupent régulièrement en famille sont moins susceptibles d'être obèses ou d'avoir un surpoids.
Les
jeunes dont les parents ont un niveau de scolarité élevé sont moins susceptibles d'être obèses ou d'avoir un surpoids.
Ceux
qui habitent dans les quartiers défavorisés sont deux
fois plus à risque d'être obèses que ceux des quartiers riches.
L'importance du petit déjeuner
De plus, une étude américaine menée par l'institut de recherche médicale du Maryland montre que les filles qui prennent de manière régulière un petit-déjeuner consistant, riche en céréales notamment, sont moins sujettes à l'obésité que celles qui sautent le premier repas de la journée.
La section Commentaires est fermée
Compte tenu de la nature délicate ou juridique de cet article, nous nous réservons le droit de fermer la section Commentaires. Nous vous invitons à consulter nos conditions d’utilisation. (Nouvelle fenêtre)