De l’astronomie dans les écoles de la région
Des élèves observent le ciel grâce au planétarium mobile.
Photo : Radio-Canada / Athéna Couture
- Athéna Couture
Un planétarium mobile a fait le tour des écoles de la région dans les deux dernières semaines.
L’objectif de l’astrophotographe Stéphane Simard est de faire découvrir aux élèves du Québec les différents phénomènes astronomiques visibles à l'œil nu. Je veux développer de nouveaux astrophotographes chez les élèves, simplement pour qu’ils aient le réflexe de regarder les astres visibles au-dessus de nos têtes
, explique Stéphane Simard.
L’astrophotographe décrit son planétarium comme étant un gros cinéma
dans lequel il parle de la rotation de la terre, des saisons, du ciel et d’autres phénomènes liés à l’astronomie.
L’astrophotographe Stéphane Simard devant son planétarium mobile.
Photo : Radio-Canada / Athéna Couture
Quand je dis aux élèves qu’il y a plein de planètes qu’ils ont déjà vues au-dessus de leur tête, comme Saturne ou Jupiter, ils sont émerveillés et ça leur donne le goût, le soir à la maison, d’essayer de trouver l’étoile Polaire ou même des planètes
, affirme Stéphane Simard.
Partager sa passion
C’est avec son premier télescope, acheté en 2010, que Stéphane Simard a décidé de se lancer dans l’astrophotographie. Quand j’ai acheté mon premier télescope, j’ai vu Saturne! À ce moment-là j’étais enseignant et je me suis dit que je devais absolument partager ces images à mes élèves
, raconte-t-il.
L’astrophotographe Stéphane Simard permet aux élèves d'observer le ciel grâce à son planétarium mobile.
Photo : Gracieuseté, Stéphane Simard
L'astrophotographe a ensuite décidé de se procurer un planétarium mobile afin de partager sa passion à un maximum d'élèves. Je demandais comment je pouvais transmettre ma passion à un plus grand nombre d’élèves. C’est à ce moment que j’ai décidé de me procurer un planétarium afin de me promener dans les écoles
, explique Stéphane Simard.
Dans les prochaines années, l'astrophotographe souhaite continuer de partager sa passion avec les élèves. Je veux continuer à faire découvrir cette belle passion-là qu’on appelle en fait un loisir scientifique parce qu’il y a très peu de gens qui sont au courant de ce qui se passe au-dessus de nos têtes
, affirme Stéphane Simard.
- Athéna Couture