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Une pièce d’identité en plus d’un permis valide pour pêcher au Québec

Un pêcheur attrape un poisson doré avec sa canne à pêche.

D'autres règlements ont été adoptés alors que plusieurs règlements varient d'une région à l'autre. (Photo d'archives)

Photo : La Presse canadienne / Butch McCartney

Les pêcheurs de l’Abitibi-Témiscamingue et de partout au Québec devront dorénavant trimbaler leurs pièces d'identité à la pêche, une façon de prouver leur identité si les agents de protection de la faune en font la demande.

Ce règlement est inscrit dans la loi depuis longtemps, mais il devrait commencer à être appliqué cette année, selon plusieurs intervenants. Il ne remplace toutefois pas l’obligation de détenir un permis de pêche valide pour avoir le droit de pêcher.

Pierre Auger en entrevue dans le studio de Radio-Canada à Rouyn-Noranda.

Pierre Auger croit qu'il s'agit d'un règlement important. «Ça va éviter que des personnes s'échangent un permis de pêche», a-t-il mentionné. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Marie-Hélène Paquin

Ça prend des pièces officielles qui émanent d’une autorité gouvernementale. En fin de compte, le document du permis de pêche ne contient pas assez d’informations nominatives pour vous identifier officiellement, rappelle Pierre Auger, vice-président de la Fédération des chasseurs et pêcheurs du Québec en Abitibi-Témiscamingue.

D’autres nouveautés

D’autres règlements ont été adoptés pour chacune des régions du Québec, y compris l’Abitibi-Témiscamingue. Les nouveautés en région touchent surtout des lacs d’exception, précise Jacques Cormier, président de l’Association chasse et pêche de Val-d’Or.

Jacques Cormier, président de l’Association chasse et pêche de Val-d’Or.

Comme chaque année, Jacques Cormier invite les chasseurs et les pêcheurs à bien connaître les règles en vigueur sur leur territoire. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / David Chabot

M. Cormier donne l’exemple du lac des Sœurs, à Val-d’Or, où la limite de prise quotidienne de truites et d'ombles passe de cinq à trois.

Une ligne, pas cinq

À l’approche de l’ouverture de la pêche à la truite, prévue à la fin avril, Jacques Cormier adresse une mise en garde aux pêcheurs : une seule ligne par pêcheur est permise, pas davantage.

Les gens croient qu’ils peuvent continuer à pêcher avec cinq brimbales s’il reste de la glace, comme si on était en hiver. À l’ouverture de la pêche, même s’il y a de la glace, c’est une ligne par personne que vous avez le droit de mettre à l’eau, prévient-il.

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