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Viking, de Stéphane Lafleur, grand gagnant du Gala Artisans Québec Cinéma

Quatre astronautes sont en demi-cercle dans une vallée ressemblant à un paysage de la planète Mars.

Une scène du film «Viking», de Stéphane Lafleur.

Photo : Films Opale

Parti favori au Gala Québec Cinéma avec 18 nominations, le film Viking, réalisé par Stéphane Lafleur, a remporté 7 des 18 prix Iris remis jeudi soir à l'occasion du Gala Artisans Québec Cinéma, en préambule de la cérémonie qui aura lieu dimanche soir.

Viking a été couronné dans les catégories du meilleur son (Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl et Pierre Bertrand), du meilleur montage (Sophie Leblond), des meilleurs effets visuels (Marie-Claude Lafontaine et Simon Beaupré), des meilleurs costumes (Sophie Lefebvre), de la meilleure direction artistique (André-Line Beauparlant), de la meilleure direction de la photographie (Sara Mishara), et de la meilleure distribution des rôles (Lucie Robitaille et Dandy Thibaudeau).

L'homme barbu pose en souriant dans les locaux de Radio-Canada, à Montréal.

Le cinéaste Stéphane Lafleur (photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Christian Côté

La soirée était animée par Fabiola Nyrva Aladin, qui joue dans Viking.

Un prix Iris pour Daniel Bélanger

Daniel Bélanger a été sacré dans la catégorie de la meilleure musique originale pour son travail pour le film Confessions, de Luc Picard.

Lyne Tremblay, Faustina De Sousa, François Gauthier et Michel Loncin ont reçu le prix du meilleur maquillage pour leur contribution à Farador, réalisé par Édouard Tremblay et mettant notamment en vedette Catherine Brunet.

L’Iris de la meilleure coiffure a été décerné à Richard Hansen, Réjean Forget et Johanne Hansen, qui ont travaillé sur le film La cordonnière, de François Bouvier, dans lequel jouent Rose-Marie Perreault et Élise Guilbault.

Quant à Falcon Lake, le premier long métrage de Charlotte Le Bon, il est reparti avec l’Iris du film s’étant le plus illustré hors Québec.

Trois documentaires lauréats

Du côté des documentaires, Jacquelyn Mills, la réalisatrice de Geographies of Solitude, a gagné le prix de la meilleure direction de la photographie pour ce film et le trophée du meilleur son, avec Andreas Mendritzki.

Jeremiah Hayes, qui a réalisé Dear Audrey, a remporté l’Iris du meilleur montage pour ce documentaire. L’artiste Gervaise, de son vrai nom Daniel Baillargeon, s’est vu remettre le prix de la meilleure musique originale pour la trame sonore du documentaire Gabor, que Joannie Lafrenière a consacré au photographe Gabor Szilasi.

C’est Invincible, de Vincent René-Lortie, qui a décroché l’Iris du meilleur court ou moyen métrage de fiction, et Madeleine, de Raquel Sancinetti, qui a obtenu le prix meilleur court ou moyen métrage animation. Réalisé par Amélie Hardy, Notes sur la mémoire et l’oubli a gagné le prix du meilleur court ou moyen métrage documentaire.

Le reste des prix Iris seront décernés le dimanche 10 décembre, à partir de 20 h, à l'occasion du Gala Québec Cinéma, animé par Jay du Temple.

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