La filière batterie

La tension autour du logement s’intensifie dans le Centre-du-Québec.

« Il y a une transparence qui n’existe pas et qui devrait être implicite aux ministères », déplore-t-il.

Le ministre Benoit Charette n'a pas écouté son ministère qui souhaitait un BAPE pour l'usine d'assemblage.

L'entreprise a fait le point mercredi sur la construction d'une usine de cellules de batteries en Montérégie.

Le gouvernement Legault affirmait pourtant le contraire au moment d'autoriser le démarrage des travaux.

Le gouvernement offre des parts de l'État dans Nemaska Lithium et négocie le prix du lithium transformé.

Marc Tanguay dit qu'une enquête générique «ne doit pas être perçue comme une étape incommodante et nuisible ».

Des opposants au projet ont de nouveau interpellé Québec sur le mégaprojet d'usine de batteries.

La multinationale française Air Liquide entreprend la construction d'une usine qui produira des gaz.

Pour plusieurs élus, ce manque de transparence nuit à l'acceptabilité d'un projet pourtant bénéfique.

« Le Québec ne disposait pas d'une réglementation pour favoriser l'implantation d'une filière batterie. »

Il y a un mois, des individus avaient planté des clous dans des arbres que l'entreprise comptait abattre.

L'an dernier, le ministère de l'Environnement justifiait par la science le refus d'un projet sur le même site.

Déposer un projet au ministère de l'Environnement ne doit pas être « une course à obstacles », selon lui.

Jusqu’au 1er mars, environ 125 camions transporteront chaque jour de la pierre concassée au site de l’usine.

D'ici 10 ans, jusqu'à 5000 nouveaux logements seront nécessaires pour loger les travailleurs, un défi énorme.