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Dopage

Dopage - Jeux de Sydney
La détection du dopage du pauvre
 
La gymnaste Andreea Raducan AÉROPORT DE ROISSY, France, 3 octobre 2000 (AFP) - La ministre française de la Jeunesse et des Sports, Marie-George Buffet, a reconnu mardi à l'aéroport de Roissy où elle accueillait la délégation française, qu'en matière de lutte antidopage aux Jeux olympiques de Sydney, «on est arrivé à détecter le dopage du pauvre».

«On a parfois l'impression qu'on arrive à détecter le dopage du pauvre», a déclaré Mme Buffet, reconnaissant en revanche qu'avec l'emploi de nouveaux produits, on «n'est pas encore en capacité de faire reculer le dopage».

Concédant qu'il y a eu à Sydney «une avancée significative» en matière de détection antidopage, la ministre a estimé que l'effort devait se poursuivre, notamment en direction des hormones de croissance. «On ne peut pas dire que les Jeux ont été propres puisqu'il y a eu des cas positifs», a-t-elle souligné.

Neuf athlètes sur les 11000 ayant participé aux JO ont été déclarés positifs après les 2000 contrôles effectués, dont 301 hors compétition.

Les cas de dopage révélés à Sydney ou avant la compétition olympique ont concerné les délégations roumaine, lettone, norvégienne, bélarusse et bulgare et portaient sur des produits connus de longue date.

La gymnaste roumaine Andreea Raducan, médaillée d'or au concours général, a été contrôlée à la pseudo-éphédrine, substance contenue dans un médicament contre le rhume, tandis que les autres sportifs sanctionnés l'ont été pour des produits tels que des diurétiques, le stéroïde stanozolol ou la nandrolone.

C'est cette dernière substance qui a été détectée chez le lanceur de poids américain CJ Hunter, mari de Marion Jones, contrôlé quatre fois positif avant les Jeux.

 

 
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