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Un homme devant un micro.
Le directeur général de l'Association pour la santé publique du Québec (ASPQ), Thomas Bastien. PHOTO : Radio-Canada / Guillaume Cyr
Publié le 2 février 2024

Dans leur plus récent livre, l'Association pour la santé publique du Québec (ASPQ) constate que, si l'on misait sur la prévention avant la guérison, le système de santé actuel se porterait mieux dans la province. Le directeur général de l'ASPQ, Thomas Bastien, estime en effet que de 60 à 80 % des maladies chroniques sont évitables, ainsi que 1 cancer sur 4.

Il souligne qu’aucun portrait global des personnes malades n’existe au Québec, contrairement à ce qui se fait dans plusieurs pays du monde. Il demande un plan national de réduction des maladies.

« On s’occupe de la gestion de la maladie dans notre système de santé. Nous, on propose au ministre de la Santé de s’occuper davantage de la réduction de la maladie. C’est une vision durable qui permet de réduire les souffrances au Québec. »

— Une citation de  Thomas Bastien, directeur général de l'Association pour la santé publique du Québec (ASPQ)

Thomas Bastien explique qu'il est possible de mettre en place ce système de réduction des maladies par l'instauration de politiques gouvernementales, comme cela a été fait avec l'interdiction de la cigarette dans les lieux communs.

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