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La Ville d’Amos appuie le projet de réfection de la salle de l’âge d’or

Une vue extérieur du bâtiment de la salle de l'âge d'or. On voit les cinq poutres endommagées.

Lourdement dégradées, les poutres extérieures du bâtiment doivent être remplacées.

Photo : Radio-Canada / Martin Guindon

La Ville d’Amos appuie le Club de l’âge d’or Harricana pour la réfection de son immeuble. Le conseil municipal a adopté une résolution en ce sens, lundi soir. La salle de l’âge d’or est fermée à toute activité depuis juin 2022 pour des raisons de sécurité.

Le Club souhaite remplacer les cinq poutres extérieures du bâtiment, qui sont dégradées au point de représenter un risque pour sa structure. Le projet actuel devrait coûter au moins 800 000 dollars, selon le président Jacques Grenier.

Le projet est monté. Il y a deux entrepreneurs qui nous ont envoyé un prix. Les architectes ont aussi travaillé. Les dessins sont prêts. Il reste les arches. On sait ce qu’on veut. On a envoyé ça à deux endroits, puis on attend des réponses sur le prix des arches.

Une citation de Jacques Grenier, président du Club de l’âge de l’or Harricana

Ce dernier se réjouit de l’appui de la Ville d’Amos, qui vient s’ajouter à ceux du Centre de services scolaire Harricana, du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et de l’UQAT. Le Club de l’âge d’or Harricana a aussi recueilli plus de 2300 signatures d’appui dans la population.

Jacques Grenier et Hélène Lamerise posent dans la salle du conseil municipal d'Amos.

Le président Jacques Grenier et la vice-présidente Hélène Lamerise étaient présents lors de la séance du conseil, lundi soir.

Photo : Radio-Canada / Martin Guindon

On va envoyer nos appuis à la Caisse Desjardins d’Amos. Ils ont une réunion en juin et ils vont nous donner une réponse. Entre-temps, on commence à aller voir les clubs sociaux, les mines, les moulins. On va aller voir partout où on peut obtenir du financement parce qu'on est rendu là, affirme M. Grenier.

Le Club de l’âge d’or Harricana a plus que triplé son nombre de membres au cours des derniers mois, passant d'une centaine à près de 400 membres.

La Ville prête à s’impliquer

Une vue de la façade de l'édifice du Club de l'âge d'or Harricana.

L'édifice du Club de l'âge d'or Harricana abritait une salle pouvant accueillir 300 personnes, en plus d'une cuisine et des locaux.

Photo : Radio-Canada / Martin Guindon

La Ville d’Amos avait offert, il y a deux ans, de se charger de la démolition de l’édifice pour retirer ce fardeau à l’organisme. Mais le Club de l’âge d’or Harricana a toujours cru qu’il pouvait sauver le bâtiment.

Ce qu'on souhaite, c'est qu'ils soient capables de se financer, d’aller chercher des subventions. Pour ça, ça prend un appui moral de la Ville. On a aussi déjà commencé à négocier des montants qu'on serait prêts à donner, que ce soit en électricité, en taxes, etc. C'est un bâtiment qui est important pour la communauté d'Amos et pour le Club de l’âge d’or, affirme le maire Sébastien D’Astous.

Sébastien D'Astous

Le maire d'Amos, Sébastien D'Astous, était prêt en 2022 à aider l'organisme à démolir le bâtiment. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Martin Guindon

Pour nous, c’est plus structurant de les aider à sauver le bâtiment dans la mesure où il y a des plans d'ingénieurs et d'architectes qui permettent de faire une réfection qui va être sécuritaire pour les usagers.

Une citation de Le maire Sébastien D’Astous

Le maire rappelle que l’édifice est très prisé par les citoyens et qu’il coûterait beaucoup plus cher de reconstruire un tel bâtiment en neuf.

On trouve que le travail de terrain fait par le conseil d’administration est très raisonnable. Ils sont très impliqués. On sait qu’ils vont bien le faire vivre par la suite, estime Sébastien D’Astous.

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