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ArchivesVisite à Whitehorse dans nos archives

Le centre-ville de Whitehorse vu du haut de l'escarpement, le 22 avril 2024.

Whitehorse a été décrite en 2024 par le quotidien The New York Times comme une des 52 destinations à voir dans le monde.

Photo : Radio-Canada / Claudiane Samson

Radio-Canada

Whitehorse et le Yukon abritent des paysages dignes d’être explorés. On vous propose de vous rendre dans ce territoire grâce à quelques-unes de nos archives.

Une destination touristique de choix

Le 10 janvier 2024, le prestigieux quotidien américain The New York Times publiait une liste de 52 endroits qu’il fallait visiter dans le monde.

Dans ces recommandations se trouve la ville de Whitehorse, la capitale du territoire du Yukon.

Plusieurs éléments rendaient Whitehorse et le Yukon attrayants cette année pour le New York Times.

Les montagnes, la forêt, l’accueil des gens en font une destination touristique remarquable, assure le journal.

De plus, cette année, note la publication, entre janvier et octobre, les aurores boréales seront particulièrement nombreuses et spectaculaires parce que le cycle d’activité magnétique solaire atteindra son paroxysme.

Reportage de la journaliste Claudiane Samson sur l'engouement des touristes japonais pour les aurores boréales et Whitehorse

Le spectacle des aurores boréales attire depuis déjà plusieurs années des touristes, notamment japonais, à Whitehorse, comme le confirme ce reportage de la journaliste Claudiane Samson, diffusé au Téléjournal Colombie-Britannique du 22 février 2012.

Le chroniqueur Christian Milette nous fait visiter la ville de Whitehorse.

Le 21 octobre 2008, le chroniqueur Christian Milette propose pour sa part lors de l’émission C’est ça la vie, qu’anime Philippe Schnobb, une visite de la ville de Whitehorse.

Christian Milette nous présente plusieurs aspects de la ville, en particulier des murales qui décorent un peu partout Whitehorse.

Il existe aussi plusieurs éléments qui rappellent la ruée vers l’or qui a eu lieu au Yukon en 1898.

La chronique de Christian Milette nous montre notamment l’énorme bateau à aubes SS Klondike qui faisait la liaison à la fin du 19e siècle entre Whitehorse et Dawson City.

Par ailleurs, la chronique nous en apprend davantage sur une période historique beaucoup plus ancienne en nous amenant au Centre d’interprétation de la Béringie.

La Béringie réfère à une bande de terre qui, à de nombreuses reprises, a constitué un pont entre la Sibérie orientale et l’Alaska.

Ce pont terrestre a été emprunté par les animaux, mais aussi par les humains, pour pénétrer dans le continent américain il y a à peu près 14 000 ans.

Le Centre d’interprétation de la Béringie possède plusieurs artéfacts de cette époque, dont plusieurs squelettes et ossements de dinosaures.

On ne s’étonnera guère que, comme l’Alberta, le Yukon attire de plus en plus de chercheurs qui s’intéressent à la Préhistoire.

Même en hiver

Dans sa chronique, Christian Milette parle de Whitehorse comme une ville d’extrêmes.

C’est notamment vrai en ce qui concerne les températures qu’on y rencontre.

En 2008, nous apprend le chroniqueur, à Whitehorse, le minimum jamais enregistré par le thermomètre était de -52,2 degrés Celsius sans le facteur éolien.

Le Yukon est une contrée indéniablement nordique.

Saviez-vous qu’à 400 kilomètres au nord de Whitehorse, le sol était, du moins en 1982, gelé en permanence?

Reportage du journaliste Marc Béliveau sur le tourisme d'hiver à Whitehorse

Le 28 mars 1982, un reportage du journaliste Marc Béliveau, présenté à l’émission Hebdo dimanche, nous parle entre autres des activités touristiques développées à Whitehorse pour amoindrir les rigueurs et la morosité que peut engendrer l’hiver.

Le reportage décrit notamment le festival Sourdough Rendezvous qui se déroule à Whitehorse tous les ans depuis février 1962.

Des reconstitutions du passé de l’épopée de la ruée vers l’or du Klondike et des courses de chiens aident les citoyens de Whitehorse à braver la froidure de l’hiver et à mieux se connaître.

Un territoire attirant

Plusieurs Canadiens et des étrangers se sont installés au Yukon car attirés par les espaces et les paysages sauvages de ce territoire.

C’est le cas du Bernois Eduard Festel qui s’est installé à Whitehorse au début des années 1970.

Reportage du journaliste Pierre Chevrier sur les activités touristiques d'Eduard Festel à Whitehorse

Comme il le confie au journaliste Pierre Chevrier dans ce reportage présenté à l’émission Le territoire de l’autre le 21 septembre 2003, Eduard Festel a trouvé au Canada  les paysages, le peuple et les conditions pour vivre et travailler.

En 2003, il gère une compagnie de voyage qui fait découvrir aux touristes les splendeurs du Yukon. Il dirige aussi un hôtel qui lui permet d’héberger ses clients.

Au fil du reportage, les téléspectateurs peuvent découvrir les paysages qui ont tant charmé Eduard Festel et peut-être aussi les journalistes du New York Times.

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