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Portrait de la jeune femme qui sourit.
La rappeuse CalaminePHOTO : Radio-Canada / Cécile Gladel
Publié le 14 avril 2024

Le troisième album de Calamine, Décroissance personnelle, vient de sortir. En présence de la rappeuse, l'auteure Alex Viens et le journaliste Nicolas Tittley se prêtent à l'exercice de la critique de ce nouvel opus d'une artiste engagée. Révélation Radio-Canada 2021-2022, Calamine veut donner envie aux gens de se mobiliser.

Alex Viens souligne que Calamine aborde la crise du logement, la misogynie, le racisme et les déboires avec la STM. C’est une artiste qui prend sa place.

Nicolas Tittley ajoute que l’album commence sur des notes sombres. On parle de dépendance à l’alcool, et au weed, qui est partout dans cet album.

Calamine parle de son amour du jazz et de ses sources d’inspiration. Elle revendique également son appartenance à Hochelaga, le quartier où elle vit, et avoue son malaise quand on parle des Québécoises et Québécois « de souche ». En ce moment, ça n’arrête plus, les discours contre l’immigration, il y a quelque chose que je trouve vraiment gênant.

La jeune rappeuse chante un des titres de son album, Ce game-là.

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