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Aquarelle d'une tête humaine dans le ciel bleu, art abstrait représentant l'esprit et la santé mentale.
Vancouver est l'hôte du Congrès mondial sur la psychologie positive, organisé par l'IPPA (The International Positive Psychology Association). Plus de 1600 chercheurs y sont réunis pour partager leurs connaissances.PHOTO : getty images/istockphoto / Benjavisa
Publié le 21 juillet 2023

Vancouver est l'hôte du Congrès mondial sur la psychologie positive, organisé par l'IPPA (The International Positive Psychology Association). Plus de 1600 chercheurs y sont réunis pour partager leurs connaissances. Marie-Andrée Pelletier, professeure à l'Université Téluq à Québec et Nancy Goyette, professeure au département des sciences de l'éducation à l'Université du Québec à Trois-Rivières, y participent.

La psychologie positive est une science jeune. Depuis 20-25 ans, nous avons commencé à nous attarder, non pas juste aux gens qui vont mal, mais aussi aux gens qui vont bien, pour bien comprendre les processus reliés au bien-être quotidien. Cette science s’intéresse aux individus dans le développement d’un bien-être optimal, explique Nancy Goyette.

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