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Début du contenu

Des écouteurs devant le logo de Spotify.
Depuis l'avènement des plateformes d'écoute en continu, la situation financière des musiciens est plus difficile. PHOTO : Reuters / Christian Hartmann
Publié le 6 octobre 2022

« Les conditions n'ont jamais été si peu favorables », explique Alain Brunet, journaliste culturel et auteur, au sujet de la réalité financière des musiciens et musiciennes. Il se remémore « l'ancien monde », l'époque où les artistes pouvaient compter sur les revenus de la radio commerciale et des ventes de leurs albums pour assurer la survie de leur profession. Il explique que ce n'est plus le cas depuis l'avènement des plateformes d'écoute en continu.

« [Avec] la façon dont les médias sociaux et les géants du web ont monté leur modèle d’affaires, la rentabilité n’est possible qu’avec des hauteurs hallucinantes. Il faut une circulation énorme pour faire un peu d’argent. Très peu de gens ont une circulation énorme. »

— Une citation de  Alain Brunet

Alain Brunet ajoute que des milliers d’artistes francophones doivent composer avec un autre problème, qui est lié cette fois-ci aux règles de répartition des redevances de la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SOCAN). Il rappelle qu’un recours collectif dénonçant une pratique discriminatoire à l’égard des musiciens francophones a été déposé contre la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique.

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