•  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  
  •  

Début du contenu

Le bénévolat, outil d'intégration des nouveaux arrivants

Suzanne Rondeau, Noura Kablan, Matthias Takouda, et Gouled Hassan dans les studio de Radio-Canada à Sudbury.
(De gauche à droite) Matthias Takouda, Suzanne Rondeau, Noura Kablan, et Gouled Hassan.PHOTO : Radio-Canada / Frédéric Projean
Publié le 7 novembre 2023

Dans le cadre de la semaine nationale de l'immigration francophone, l'émission Matin du Nord a organisé un panel de discussion avec l'organisme de bienfaisance, Chemin de la lumière, pour se pencher sur l'apport du bénévolat comme outil d'intégration. Plusieurs volontaires de l'organisme y ont participé : Suzanne Rondeau, Noura Kablan et Matthias Takouda. Le coordonnateur de projets du Contact interculturel francophone de Sudbury, Gouled Hassan, prend également part à cette conversation.

Le bénévolat est généralement perçu comme un élément clé à l’intégration des nouveaux arrivants, selon les participants.

« En tant qu’immigrant, l’une des premières difficultés que l’on a quand on arrive dans un nouveau pays, c’est qu’il faut se développer un nouveau réseau; à la fois un réseau professionnel, et surtout un réseau social. Le bénévolat est une manière de faire les deux en même temps. »

— Une citation de  Matthias Takouda, bénévole

Les nouveaux arrivants peuvent également contribuer à rendre le Grand Sudbury une terre plus accueillante, selon Mme Rondeau.

« C’est une richesse que les immigrants, les immigrantes et les nouveaux arrivants nous apportent : un partage de culture, de connaissance. Aussi, ils nous apportent des habiletés dont nous avons besoin dans le commerce, dans les industries et dans les affaires. »

— Une citation de  Suzanne Rondeau, bénévole

Gouled Hassan ne voit pas quant à lui, le bénévolat comme une simple façon de s’intégrer. Il explique que le bénévolat est un élément intégral au tissu social canadien.

« On a déjà ces notions du bénévolat des pays d’où on vient, sans nécessairement le rendre technique ou formel. Qu’on aide un voisin, ou qu’on aide la communauté […] ça fait partie de qui nous sommes, mais on ne l’appelle pas bénévolat comme tel. Quand on arrive au Canada, il y a un terme pour ça, et puis c’est une façon de bâtir la communauté. »

— Une citation de  Gouled Hassan, Contact interculturel francophone de Sudbury

Recommandé pour vous

Consultez notre Politique de confidentialité. (Nouvelle fenêtre)
Ces contenus pourraient vous intéresser