Pensez-vous qu'il y a une différence de ressenti entre les personnes qui bénéficient de sessions de yoga, de luminothérapie, de massage ou encore de gestion du stress des programmes de bien-être au travail et celles qui n'en ont jamais vu la couleur? Eh bien, non. C'est ce qu'a appris la chroniqueuse Josée Boileau en lisant les résultats d'une étude britannique à ce sujet.
« On a constaté qu'il n'y a aucune différence entre un employé qui a suivi ces programmes et un autre qui n’a pas du tout embarqué. »
À la fin de sa chronique, Josée Boileau se demande si le fait de recevoir ce type d’avantages sociaux attractifs ne favoriserait pas l’emprise de ce qu’on appelle les « menottes dorées ».